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"Les transgenres sont des machos comme les autres" (Chronique du Bas-Empire transactiviste)

Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket et je nourris un dossier critique face à la transbéatitude montante. Le mouvement LGBT que tant de nos concitoyens soutiennent n'est plus la Pride du début. La mouvance a été phagocytée par une horde de fétichistes sexuels, paradant en défenseurs de droits civiques mais ne visant qu'à se faire voir et à imposer, bis repetita, la force du désir masculin à toute la société, piétinant au passage droits des enfants et des femmes.


 

J'ouvre un nouveau dossier, parallèle à "Leave the kids alone".

Ce dossier plus politique pourrait s'intituler "Chronique du Bas-Empire transactiviste", titre calqué sur l'ex-compte tw de Michel Onfray (le Bas-Empire étant le déclin de l'empire romain, après le règne de Marc Aurèle).

Il faut en effet discerner entre comprendre ce que nos gamins doivent subir, leurs difficultés à vivre le chaos ado (un vieux classique), qu'ils doivent combiner au chaos sociétal et structurel du moment, ainsi que les délires auxquels ils sont confrontés (c'est le dossier Leave the kids alone), et analyser qui sont les malfaisants qui les détournent d'une recherche de soi authentique (c'est ce dossier machos)

J'y explorerai comment et pourquoi le mouvement LGBTs du début a été phagocyté par une horde de fétichistes sexuels, paradant en défenseurs de droits civiques mais ne visant qu'à se faire voir - accessoirement à valider la pédophilie auprès du grand public, au travers d'instances officielles. Cela semble dur? C'est une réalité, que peu de mes camarades connaissent.

Trop de nos copains "du camp du bien" croient soutenir un mouvement de défense des minorités. Or, LGBTQIA+ est récusé par LGTs, soit les lesbiennes, les gays et les transsexuels du mouvement original. Ces nouveaux activistes brutaux sont désormais seuls aux manettes, piétinant tout le monde et tous les acquis passés. Je citerai dans le dossier une équipe de gauche féministe radicale qui ose se poser en critique de genre.

Mes copains de gôche soutiennent donc des hypermachos réacs, mais en jupe. Il semble que seule la droite ose attaquer l'idéologie transgenre. Amis de gauche, vous poussez donc les jeunes de bon sens dans les bras de la droite. Félicitations! Qu'en sera-t-il du juste équilibre entre ces deux forces politiques au final?

Je rapatrie les billets des réseaux sociaux, où je rédige les premiers jets. D'ici la mi septembre, je répartirai la liste ci-dessous selon une table des matières structurée.

par ordre chronologique - voir le dernier billet

 


Autres dossiers courants

Je lie ceci à deux dossiers conjoints, car liés structurellement:

2018-2023. "Ce que les GAFAM font à l'homme (ou “Je suis venu te dire que je m’en vais”)"
Je mets ma casquette de Jiminy Cricket et je nourris un dossier critique face à la cyberbéatitude montante. Titre temporaire: "Je suis venu te dire que je m'en vais" (ou Ce que les GAFAM font à l'homme). L’Occident accepte sans sourciller que l’humain s’en aille de son environnement, répondant ainsi aux désirs des transhumanistes de la Silicon Valley; pour ma part je fais sécession de ce monde résigné)