14.8.2023 On peut se questionner quand on repère qu'il y a des éléments de langage récurrents dans le discours des transactivistes: les critiques sont systématiquement accusés d'être d'extrême-droite, par exemple.
La puissance soudaine du transactivisme LGBTQIA+ pose question: quelles forces d'argent soutiennent cette mouvance extrêmiste et intolérante? Ou même la poussent au point que des lois iniques passent crème dans nos démocraties, rayon transitude?
Comment, aussi, ces militants hystériques peuvent-ils si facilement faire interdire des conférences, des spectacles (y compris d'humour), des réunions? D'où tiennent-ils ce pouvoir?
On peut aussi se questionner quand on repère qu'il y a des éléments de langage récurrents dans le discours des transactivistes (scoop: c'est le signe qu'une agence de relations publique est derrière).
L'un d'eux est la division entre droite et gauche: la gauche prônerait la transitude, la droite s'y opposerait. Si vous posez question vous êtes un vieux réac' de droite. Même si vous êtes une vieille anarchiste de gauche comme moi.
C'est drôle tant c'est éloigné du réel: le mouvement est financé entre autres par Stryker, multimillionnaire américain très conservateur. Le mouvement s'est installé en Grande-Bretagne sous la houlette des Tories, conservateurs.
Il est promu par les démocrates en général, aux States, certes.
Mais j'ai bien écrit en général! La presse mainstream américaine passe ceci sous silence (normal, cela contredirait le narratif et les éléments de langage): de plus en plus d'édiles démocrates se joignent au camp républicain pour faire interdire les opérations et traitements sur ados. Comme ils sont parfois blacks, ça la fiche mal pour le discours intersectionnel...
Lire l'article "embouteillage intersectionnel" chez LGBT Courage Coalition (Lesbian, gay, bisexual, and transgender adults concerned with pediatric gender medicine and the censorship of dissent. We won't be silenced)
Je fus lobbyiste, je connais un peu la chanson. Récemment, j'ai aussi joué au décodage dans mon livre "Le boeuf émissaire", j'ai un peu plus documenté dans le dossier qui réunir mes brouillons pour "Qui a machiné le boeuf bashing". C'est sidérant de retrouver pile poil les mêmes manoeuvres...