16.8.2023 "La dysphorie est dans le cerveau. Si vous négligez ce fait, si vous intervenez directement sur le corps, vous n’aidez pas les personnes transsexuelles", dixit Buck Angel, transsexuel connu.
"La dysphorie est dans le cerveau. Si vous négligez ce fait, si vous intervenez directement sur le corps, vous n’aidez pas les personnes transsexuelles."
Buck Angel, transsexuel médiatique, né femme biologique, transité il y a 30 ans auteur de l'article "I'm a Trans Elder. Trans Activists Don't Speak For Me (The "man with a female past" speaks his mind about childhood transition.)"
Nouveaux arrivés dans ce dossier: curieusement, un enfant ou ado envoyé chez le psy ou le médecin pour "dysphorie de genre" est souvent directement affirmé dans son ressenti; et non d'abord traité en psychothérapie de base. En conséquence, il reçoit rapidement des bloqueurs de puberté, puis des hormones, avant de passer à la mutilation sacrificielle.
Ce n'est pas un accident, le fait d'une hallucination collective. C'est une consigne dans le protocole de soins ad hoc.
Il revient aux journalistes d'investiguer: comment ces dérives ont-elles pu passer auprès des instances officielles?