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Vie tragique d'une vedette trans de la téléréalité

21.8.23 La vedette de téléréalité américaine, la trans Jazz Jennings, n'est pas une icône: énième mensonge. Elle est une victime. Info pour les parents d'ados tentés par la transitude.


La vedette de téléréalité, la trans Jazz Jennings, n'est pas une icône: énième mensonge. Elle est une victime. Info pour les parents d'ados tentés par la transitude.

Cette fille née garçon a été transitée socialement à 4 ans par sa mère. Mise sous bloqueurs de puberté à 11 an, elle a subi les opérations ad hoc ensuite (inversion de son micropénis, micro- à cause des médicaments).

Elle a été la vedette d'un show de téléréalité dès ses 14 ans. Cette série I Am Jazz (USA) a contribué à la vague de transidentification dans le grand public. Jazz est encore instrumentalisée comme icone par les transaffirmatifs.

Or, sa vie à 21 semble misérable: la surmédicalisation en a fait une obèse, déprimée sévère, victime d'attaques d'anxiété et surmangeuse, qui n'arrive pas à lier de relation d'amour.

Ce n'est pas une icône, c'est une victime.

(NB technique: de bon ton dans les tabloids de dire qu'elle est grosse pcq elle surmange. Cela peut-être l'effet des hormones, tout simplement. Ce ne serait pas la seule née homme qui passe en surpoids).

Lire plus de détails: The tragedy of Jazz Jennings ( The reality-TV star's story is a terrible indictment of so-called gender-affirming care)

Si j'avais un ado trans-tenté, je chercherais des vidéos puisque ce texte ne sera pas lu...

Extraits:

"Au fil des ans, il a tenté trois brèves « relations ». Une seule d’entre elles a même mené à un baiser. Dans toutes ces relations, le pauvre Jazz se comporte comme un visiteur curieux d’une autre planète, essayant de décoder les étranges rituels des êtres humains."

"Jazz Jennings nous a été vendu par le lobby LGBTQ+ comme un brillant exemple du succès de la réaffectation précoce de genre pour les enfants. En vérité, il a été laissé sans sexe, stérilisé et physiquement mutilé. Le jazz n’est pas un exemple à suivre. Sa vie tragique est une mise en accusation du mouvement trans."

Lire aussi, chez Nicolas Casaux sur le même sujet: "La dysphorie de genre, le transgenrisme, le transsexualisme et l’enfance (par Michael K. Laidlaw)"

 

L’auteur de l’article, Michael K. Laidlaw, docteur en médecine, est un médecin certifié de Rocklin, en Californie, spécialisé en endocrinologie, diabète et métabolisme.

Omission #1 : Les auteurs ne mentionnent pas le fait que Jazz souffre de dépression.
Omission #2 : Le taux de suicide des transgenres est très élevé.
Omission #3 : Jazz reçoit actuellement un traitement à base d’inhibiteurs d’hormones pour l’empêcher de connaitre un développement pubertaire normal.
Omission #4 : Jazz aura besoin que son pénis d’enfant soit chirurgicalement détruit afin qu’on lui construise un faux vagin.
Omission #5 : Jazz souffre actuellement de dysfonctionnement sexuel ce qui lui infligera probablement des dommages permanents.
Omission #6 : Jazz finira très certainement par être infertile.
Omission #7 : On remarque un niveau important de toxicomanie chez ceux qui s’identifient comme transgenres.
Omission #8 : Il existe de nombreux risques graves associés à la prise d’hormones du sexe opposé.
Omission #9 : Le taux de mortalité de ceux qui s’identifient comme transgenres est trois fois plus important que la moyenne.

 

Chaque omission ou inexactitude est détaillée dans https://www.partage-le.com/2018/10/31/la-dysphorie-sexuelle-le-transgenrisme-et-lenfance-par-michael-k-laidlaw/

 


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