28.5.23 Long time no see, depuis octobre passé. L'hypothèse shedding comme source de la PPR de juin 2021 semble avérée. Ayant trouvé la source de l'inflammation, je pourrai enfin la juguler? Nouvelle stratégie à base de LDN + présentation du livre du dr Cowan sur l'immunité.
Depuis octobre 2022, j'ai oublié de consigner mes notes pour tous, je les garde dans mon petit carnet à spirales et j'ai eu la flemme de les transcrire "au propre" sur ce blog.
L'hypothèse shedding (contamination du vax par un vax) comme source de la PPR de juin 2021 semble avérée. Ayant trouvé la source de l'inflammation, je pourrai enfin la juguler?
Ce fut (ce sera encore) un véritable roman policier. Hercule Poireau et Miss Marple de Nivelles ont dû se tenir la main pour y voir clair.
Mi-2021, orage dans un ciel bleu: hanches et épaules quasi paralysées, très douloureuses, comme dans une PPR. A partir de ce moment-là, toutes mes techniques naturo semblaient vaines. Je me suis pourtant sortie d'une maladie autoimmune grave (RCUH) en 2000, sans médicament, sans intervention, avec la seule force du repos et d'une diète (radicale, certes). Cela m'a pris de longs mois.
Grâce à cette attention naturo, je me suis pourtant prémunie d'une rechute de cancer, prédite par la faculté et par mon historique familial, depuis 1994. Avec le sourire, je voudrais inviter un jour à dîner le chirurgien et le gastro qui à cette époque m'ont élégamment déclaré "ne comptez plus en années, mais en mois, chère madame". Devoir du jour: évaluez le nombre de mois qui se sont écoulés depuis novembre 1994? Je vous la fais courte: ça fait près de 350 mois ;)
Grâce à mes pratiques nature, j'ai aussi soulagé tous les bobos auxquels je suis habituée depuis ma naissance. Enfin au calme, après tant de décennies, quelle joie!
Mais ici: que pouic. Comme si je soufflais dans un ballon. Il a fallu donc passer à la grosse artillerie: cortisone, antibios spécifiques aux mycoplasmes. Un comble pour une praticante naturo, uniciste de surcroît (même dans mes choix d'huiles essentielles). Un défi de la vie?
Je gardais comme objectif de pouvoir rejouer au tennis. A ce stade-ci, je n'y pense même plus, je demande simplement de pouvoir marcher, doucement, plus qu'un kilomètre à la fois. Question de mon petit médecin intérieur: est-ce la vieillesse (68 ans) qui me rend récalcitrante aux techniques naturo? Est-ce qu'un facteur aggravant de cette maladie pourrait être un élément extérieur bizarre, tiens, disons une arme biologique qu'on a fait passer pour une pandémie? Je penche évidemment pour la 2ème solution.
Ce n'est qu'en septembre 2022 que plusieurs médecins, dont mon médecin traitant, m'ont soufflé que ce que je vivais ressemblait aux effets secondaires de la pseudovaccination en cours. Or, j'ai toujours refusé cette expérimentation. Dès cette époque, j'ai été en contact avec Hélène Banoun qui a finalement rédigé un article fouillé, scientifique, évaluant la plausibilité d'une contamination du pseudovax. Voir tout l'article shedding.
J'ai cru pouvoir me détoxifier de cette contamination par un seul épisode d'ivermectine/HCQ. J'ai mis le temps à comprendre que chaque contact avec un vax provoquait une flambée: retour aux grandes douleurs, à la paralysie -> prise de la bithérapie en plus d'ivermectine/HCQ et lent retour à la marche normale.
NB pour mes amis des réseaux sociaux: j'ai bien essayé l'huile de nigelle dans ces cas, cela n'a rien donné. Ce sera donc "cheval toi-même" pendant quelques mois... (eh oui, j'ai encore des amis qui croient la rumeur médiatique selon laquelle l'iv n'est que pour les chevaux )
Au début, j'ai suivi la doxa qui veut que la contamination ne soit possible que dans les 28 jours après vax. J'ai mis le temps à comprendre que, quelle que soit la dose, quel que soit le délai, c'est tout vax qui me contaminait, par contact épidermique. Fin 2022, l'habitude était prise: plus de bises, plus de frotti-frotta.
Impossible à tenir: à un moment, l'un ou l'autre copain vax passait au-delà des défenses orales ("j'ai une angine", "j'ai la peste"... je ne savais plus quoi trouver) et me faisait une bise de force; ou me caressait les bras ou les joues pour faire au moins quelque chose. Normal, on les comprend. Chaque fois, je précise "chaque fois", le lendemain (délai de 12h à 24h): retour au lit, paralysie, douleurs -> bithérapie -> lent retour à la marche. J'ai mis quelques mois à prendre le pli de systématiquement prendre de l'ivermectine quand un contact avait eu lieu, puis de reprendre double dose de cortisone et de recommencer les antibios. Quand je procède ainsi, le retour à la marche se fait en deux-quatre jours et non plus six ou sept.
Ceci dit, l'ajout d'ivermectine/HCQ a eu ceci de faramineux que j'ai été débarrassée des effets autres de ce pseudovaccin: cet atroce urticaire, la possible répétition du court accident cérébral, la perte de sang en volume dans les urines, jusqu'à la prise d'ivermectine en septembre 22.
Dès février 2022, j'ai pu évaluer que la contamination n'était pas qu'épidermique, hélas! J'organise une fête familiale d'anniversaire, j'annonce la demande de non-contact. Toute fière d'être sans cortisone et de gambader, guillerette, depuis quinze jours. Cinq vax présents parmi les adultes, quatre autres non vax. Aucun contact épidermique. Le lendemain: retour case zéro, sans passer par le start. Grrrr. J'avais vécu un épisode de grand malaise et de rechute en juillet 22, lors d'un stage de création couture (8 personnes dans 20m2), au point que j'avais dû abandonner le stage - et mes espoirs de devenir une grande créatrice ;) - mais j'avais mis cet épisode de côté, comme vraiment délirant.
J'ai même cru qu'une diète stricte pouvait me renforcer au point de ne plus être victime de ces contaminations. J'ai pratiqué ma cure idéale, la cure carni. Idéale au point que, pourtant électrosensible, quand je la pratique je peux dormir la tête sur le boitier wifi sans rien ressentir le lendemain. Après dix jours de cette cure-ressource, j'ai invité une amie à passer un week-end sur le bateau, en test (sans le lui annoncer, c'est trop glauque). Une amie adorée, dans mon lieu favori, un lieu divin: celui qui soupçonne encore un effet psy est vraiment un sot. Le samedi: belle balade, dont je suis toute heureuse, puisque sans cortisone. Le dimanche, après 500m dans les dunes: "continue avec les chiens ma chérie, je vais regarder les vagues". Je n'avais pas une rechute paralysie comme d'habitude, mais impossible de marcher plus longtemps... La flambée n'est arrivée que le surlendemain -> retour bithérapie. J'ai mis quelques jours à penser à l'ivermectine qui, en combinaison avec la bithérapie, m'a permis une marche normale.
Je dois absolument trouver une autre stratégie que la remédiation ponctuelle que je pratique, car désormais j'ai découvert qu'un nonvax pouvait aussi m'aggraver.
Pour évaluer avec certitude que les rechutes surviennent après un contact vax, et non après x jours de sevrage de cortisone, j'ai mis en place un planning qui devait durer 15 jours. En effet, chaque rechute a été forte dès lors que j'avais (enfin!) arrêté la cortisone et retrouvé la marche; et que, par hasard, je vivais un contact avec un vax. Cela pouvait tout simplement être dû au fait que je m'étais entre-temps vidée des réserves de cortisone au point qu'une rechute pointait le nez. Je note toutes les autres variables dans mon petit carnet à spirales, en tâchant de rester rasoir d'Ockham ans la mesure du possible. Le possible étant que je suis une petite souris de labo, seule dans sa cohorte, et que je suis simultanément le laborantin...
Joie de l'arrêt de la cortisone mi-mai: j'ai enfin pu sentir un point très douloureux dans le genou droit, dont je disais à des amis qu'à mon avis je devais avoir le ménisque déchiré. Joie? Ben oui, tant que je continuais la cortisone, qui cache les douleurs, je continuais à maltraiter ce genou droit qui criait silencieusement... Je le voyais bien être du double de taille de l'autre, mais je ne sais pourquoi, je ne m'arrêtais pas à cela. Désormais, je le dorloterai, même quand je ne le sens pas,jusqu'à ce qu'il revienne à une taille normale.
Hors cortisone, la douleur était telle qu'en voiture, en basculant le pied vers la gauche pour appuyer sur le frein, je criais de douleur. Avant de passer à l'imagerie médicale, je cherchai donc un ostéo pour un prédiagnostic. J'ai en effet plus confiance dans l'humain que dans la machine. Quel parcours du combattant que de trouver un ostéo fiable et NON vax! L'ostéo a pu diagnostiquer de l'arthrite dans le genou et un ligament abîmé à droite (collatéral), comme si j'avais eu un coup, une chute. Je n'ai rien eu de ce type, mais il se peut que la cortisone manifeste enfin ses effets secondaires, comme des dégâts tissulaires. Entre autres. Désormais: cataplasmes d'argile deux fois par jour, je peux ainsi freiner sans réveiller tout le quartier. Des pirouettes réveillent la douleur fulgurante, mais j 'en fais si peu ;)
Au passage, info pour les naturos: le genou gauche, jaloux, a rapidement fait un gros kyste/épanchement dans le creux poplité. Gros comme une balle de tennis (faut-il que je sois nostalgique...). Deux jours d'argile et deux jours de technique Gardelle: il n'y a plus qu'un souvenir, que l'ostéo a pu palper et décrire comme un kyste de Baker (?), mais que moi je peux à peine sentir.
Bref. Le planning était, à partir du dernier épisode contact malencontreux (contact aérien, en plus), de diminuer la cortisone et l'arrêter dès que possible; et de me garantir AUCUN contact vax pendant les dix jours suivants. Après quinze jours, je verrais ainsi si le vidage de cortisone était responsable, ou pas. Je prévoyais de ne me trouver dans aucun lieu public fermé pendant ce temps, ni magasin, ni restau ni rien. Pas de visite d'amis.
Or, ce charmant jeune ostéo, garanti non vax, a traité le genou droit - et le lendemain rechute de PPR -> retour à la bithérapie + ivermectine + repos et reprise lente de la marche normale, en six à sept jours. Or, des manips sur un genou, à droite, ne peuvent déclencher un orage tel qu'une crise de PPR dans les DEUX hanches et les DEUX épaules.... J'avais supputé qu'il venait de traiter un vax, et que le gel pour les mains n'était pas suffisant pour niquer les nanoparticules lipidiques.
Mon planning est donc bousillé, je devrais recommencer à zéro. Ras le bol. Je suis donc revenue à la bithérapie, que j'assouplis avec la technique de Gardelle sur les hanches et les épaules une à deux fois par jour (ce qui me permet de tenir à 2mg de cortisone au lieu de 4). Je compte arrêter la cortisone dès que possible, selon l'escalier habituel: 2mg un jour sur deux -> puis un jour sur trois -> puis arrêt. Ce qui me prend dix jours environ: J1 J3 J5 J8 J11.
Mais continuer ensuite à éviter tout vax? Cela devient de la folie pure! Je deviendrais donc vraiment comme un enfant-bulle: une mémé-bulle? Vision infernale. Ou alors j'accepte la cortisone à vie, avec les effets secondaires connus.
Autre solution: plutôt qu'éviter l'agresseur, se renforcer pour que l'immunité s'occupe de cet intrus. Ce que je crois faire depuis plus de 20 ans - en ratant un peu la cible, il me semble. Mes amis non vax ne sont pas, eux, victimes de shedding; ils auraient des superpouvoirs? ou c'est moi qui suis déficiente? La deuxième option est la bonne, bien sûr. Je sais aussi que je fais des maladies bizarres dix ans avant qu'elles ne deviennent courantes; mais ça ne suffit pas comme explication. Mes essais depuis 20 ans sont solides, mais pas béton. Voyons si l'on peut les renforcer.
Depuis les premiers tests "naturo" après le cancer, dès 1996, des tests pointus chez un labo français indiquaient un état immunitaire proche du sidéen (plus de lymphocytes T4 est le seul point dont je me souviens). De quoi paniquer. L'excellent dr Eddie Poulet (homéo, fut président de la Ligue Kousmine belge) m'a suggéré alors de me calmer et de prendre ces données comme des bases de ma biologie propre, hors les déclarations du labo. "Tu vis probablement depuis longtemps sous ces paramètres atypiques". Malin!
De récents tests classiques en endobiogénie, aussi pointus, indiquaient en 2019 un terrain cancéreux. J'étais tellement colère d'avoir dépensé 300 euros pour "une analyse sophistiquée croisée aux States" et m'entendre prédire encore des malheurs, que je n'ai pas demandé à la doctoresse de décoder les raisons de cette analyse. Mi 2023: toujours pas de cancer, au fait. Mon intuition colérique d'alors était juste...
Il se pourrait que j'aie une déficience de l'immunité cellulaire (les lymphocytes T) et que je survis grâce à l'immunité humorale (lymphocytes B), suractive dans les cas de cancer et de maladies autoimmunes. Deux maladies que j'ai eues, en 94 et 2000 respectivement. J'ai aussi été victime d'un de ces nouveaux syndromes bizarres, de 87 à 2000: une encéphalopathie myalgique, variante d'épuisement chronique - aussi une marque de déficience en immunité cellulaire, apparemment.
Je ne fais d'ailleurs jamais de fièvre, même en cours de grippe (à la rigueur, 37°, moi qui vis entre 34 & 35°C); or la fièvre est un des mécanismes de l'immunité cellulaire. Je me suis fait une raison, je dois avoir un pan immunitaire déficient - dérive que je pense combler par une pratique d'hygiène de vie assez stricte. Serait-elle la raison pour laquelle je n'ai pas ce fameux cancer prédit par les analyses?.
Entre ici un livre du dr Tom Cowan (" Vaccins, auto immunité et évolution de la nature des maladies infantiles "), que j'ai acheté dans sa traduction française pour pouvoir le conseiller à des contacts intéressés par le regard d'un anthroposophe très rigoureux et par la théorie du 4ème état de l'eau dans l'organisme humain ("e-z water" en anglais, cherchez "dr Pollack" - j'utiliserai désormais le terme d'eau structurée ou de gel; la traduction "eau morphogénique" par Marc Henry est certes juste, mais décourage par sa technicité).
Cowan y précise que, homéo par essence, il n'utilise aucun médicament classique, excepté pour les cas de cancer et de maladies autoimmunes (mon rayon, quoi): des faibles doses de naltrexone. Que je vais résumer ci-après en LDN (low dose naltrexone). Il conseille au principal une seule cure alimentaire en simultané, la même pour tous: l'équivalent de Nouvelle flore de ma collection, mais ciblée en nourritures vraies au principal. Il pense que, sans cette cure, le LDN ne peut produire que des effets minimes - ce qui est contredit par d'autres médecins et des pratiquants. Autant mettre tous les atouts de son côté.
Ceci n'est pas un blog médical. Je relate une expérience par une pirate de sa biochimie, pour info. Ne prendre aucun de ces textes comme conseil. Voir votre médecin traitant.
" Vaccins, auto immunité et évolution de la nature des maladies infantiles " est son seul livre traduit en français. D'autres sont aussi passionnants, mais tous en anglais. Les curieux pourront écouter ses diverses interviews et "points de presse" via bitchute et son site:
J'ai acheté (et dévoré!) son "Cancer and the New Biology of Water" - voir mon intro . J'avais déjà apprécié son Human Heart, Cosmic Heart: A Doctor’s Quest to Understand, Treat, and Prevent Cardiovascular Disease, dont je relis parfois des parties tant j'adore son fonctionnement intellectuel (2016 - extraits sur https://www.amazon.fr/gp/product/B01M8LGF97/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_tkin_p1_i0).
Ce livre-ci expose de manière magistrale comment la médecine moderne se fourvoie en voulant empêcher la manifestation de certaines maladies d'enfance, provoquant ainsi des désordres immunitaires.
Je n'ai pas vu d'extraits du livre en français sur les portails classiques, mais on peut en consulter pour la version anglophone sur Mazone . L'introduction y est claire et précise sur ses intentions, qui rejoignent les miennes.
Présentation éditeur
Sur plusieurs décennies, dans le cadre de son cabinet médical familial, le Docteur Tom Cowan a observé que ses jeunes patients non vaccinés semblaient en bien meilleure santé que ceux qui l'étaient et que ceux qui étaient vaccinés semblaient souffrir d'un nombre croissant de maladies auto-immunes chroniques. Révisant la formation qu'il avait reçue durant son cursus de médecine, le Docteur Cowan a commencé à étudier la nature de l'immunité, à faire des recherches sur l'histoire complexe des maladies infectieuses et à se pencher sur de nouvelles preuves montrant que certaines maladies infantiles peuvent en fait protéger contre d'autres affections contractées plus tard dans la vie. Dans ce nouveau livre passionnant, le Docteur Cowan remet en question les idées reçues sur la biologie cellulaire, met en lumière les origines de l'auto-immunité et propose une explication radicalement nouvelle sur la manière dont les vaccins ont modifié la structure des maladies. Ce faisant, il ne se contente pas de lancer un défi à l'establishment médical, mais présente également une voie prometteuse pour un nombre sans précédent de personnes – enfants et adultes - qui souffrent de maladies chroniques.