taty lauwers

cuisinez selon votre nature

en quête d'un devenir-soi nutritionnel

Comment bio-hacker ses petits bobos en approche naturo: page 20/

10.9.2022 J'arrête petit à petit la cortisone et je teste un nouveau traitement ("dévacciner" puisque j'émets l'hypothèse que je suis victime de contamination vaccinale). A l'occasion je rappelle le parcours de recherche et les essais de médocs/compléments.


un prochain livre,
à paraître chez Aladdin, par Bibi

 

10.9.2022 Suite de l'épisode 19

 

Je rappelle: ceci n'est que mon choix personnel, ce n'est pas une prescription. Je propose une illustration de posture face à sa propre santé. Je suis de nature "tarass boulba" et les techniques dures comme antibios et cortisone me conviennent mieux que les approches subtiles. Ceci n'est pas à conseiller pour tous. Des pratiques naturo pures sont mieux adaptées à d'autres profils

J'arrête la cortisone et je teste un nouveau traitement : pour me "dévacciner" puisque j'émets l'hypothèse que je suis victime de contamination vaccinale, aucune autre source ne peut expliquer le chambard depuis juin 2021 ( voir mon billet ad hoc). A l'occasion je rappelle le parcours de recherche et les essais de médocs/compléments.

Historique de l'épreuve de santé actuelle. En  juin 2021, une douleur lancinante dans le bas du dos et le haut des cuisses . Cette douleur n'avait rien à voir avec mes dorsalgies habituelles (j'ai financé bien des piscines chez des kinés & ostéos depuis 40 ans). Cela s'accompagnait d'épuisement et de mes sempiternelles douleurs dans la fosse iliaque gauche (colopathe de naissance, opérée d'un cancer du colon à 38 ans, RCUH à 43 ans, c'est une de mes faiblesses).

En attendant le rendez-vous chez l'ostéo , j'ai d'abord pratiqué des exercices de stretching/yoga (un mix), du repos couchée à intervalles réguliers, de l'application de bouillotte (donnait rien), puis de glaçons (donnait rien), des cataplasmes d'argile (inefficaces, pour une fois). Je me suis oint le bas du dos de mon mélange d'huiles essentielles (calmait un peu).

Effet quasi neutre de toutes ces pratiques.

L'ostéo a repéré une probable sténose en L3, hypothèse que je n'ai pas fait valider par tests comme il le suggérait. En pleine hystérie covid, une non-vax qui refuse en plus les tests PCR , ne pouvait pas être la bienvenue en hopital. L'ostéo m'a expliqué ce que c'était, ce que pouvait apporter la possible opération et les techniques de McKenzie. Trois coups de fil, et j'ai déjà trouvé deux copines dont des proches avaient vécu cela. A chaque fois: opération. Que je préfère éviter, vu la cascade d'erreurs médicales que j'ai connues, comme une malédiction (ce qui n'est pas le cas de mes proches, soit dit en passant; c'est vraiment perso).


J'ai eu une consult' téléphonique avec mon médecin, en congé (jusque septembre, snif!) , selon qui tout portait à croire qu'il s'agissait d'une cruralgie - typique chez une femme de mon âge. A ce moment, l'handicap était là, mais les douleurs étaient plutôt dans les cuisses.

J'ai mis en route les exercices de McKenzie ad hoc et j'ai appliqué des cataplasmes d'argile chaque nuit. Sur les conseils de l'ostéo, j'ai pris rendez-vous chez un praticien de la méthode des chaînes musculaires. Premier rv que j'ai eu fin août chez une charmante kiné qui pratique à Nivelles et qui m'a informée que la sténose en L3 semblait débloquée, elle ne repérait plus de tension à cette hauteur - compréhensible si l'on connaît la suite à partir de juillet. J'ai malgré tout continué la posture Mckenzie ad hoc depuis lors, une ou deux fois par jour. J'ai fait une séance de chaînes musculaires par dizaine pendant plusieurs mois, jusqu'en mars 2022. Moment où je me suis rendu compte que cette pratique calmait les douleurs pendant 24 heures, sans plus. Effet bien différent de l'acupressure, que ma fille a pratiquée sur moi lors de mon séjour chez elle, près de Toulouse - au printemps 2022. J'en parlerai.

NB 2023. Maintenant qu'on sait que je refais une crise, dans un délai de 24h après contact avec un vacciné, je comprends que ces techniques étaient inutiles, car la gentille kiné était plurivaccinée.

Revenons à juillet 2021:  les douleurs  se sont aggravées, au point d'handicaper la marche et la mobilité. Phénomène tout nouveau pour moi, pourtant si habituée aux surprises: les hanches étaient comme bloquées, elles ne répondaient plus.  Les épaules ont suivi après quelques semaines. Au potager, c'était cocasse: je m'accroupissais par habitude, oubliant mon état. Pour me relever: oh, ma douleur! je rampais jusqu'à un arbre, me tirais avec les bras. Jacques Tati aurait bien rigolé de la confrontation de la modernité à la nature... Je tente de sourire, mais les douleurs étaient l'équivalent d'avoir du verre pilé au-dessus du trochanter... A force d'inflammation, ces zones étaient devenues HS. J'ai vite abandonné ma parcelle au potager, hélas.

J'ai testé du silicium G7 . Effet vaguement positif. J'avais tellement mal que je ne voulais plus arrêter tout ce qui était vaguement efficace. Mais j'ai tout de même stoppé le silicium après 15 jours je crois, à cause du prix et du soupçon qu'il avait un effet tampon, sans plus.

J'ai testé la cohérence cardiaque, imaginant que le stress était trop fort et me poussait en inflammation. Sans effet.

Je peux évaluer les effets même un an après, car je tiens toujours un carnet de sentinelles, selon mes maladies.

Ici une des sentinelles était le temps que je mettais à sortir du lit le matin: 8/10 qualifiait une sortie en 15 secondes, 10/10 étant mon état habituel. 5/10 par exemple qualifiait les jours où je mettais dix à quinze minutes pour sortir du lit (au lieu des 15 secondes récentes). 3/10: les jours où je devais rouler hors du lit, puis ramper et me soulever du sol à l'aide des bras... J'avais gardé un 1/10 que j'ai déjà connu pendant les chimios puis pendant la RCUH en 2000: quand mon mec devait me porter.

Autre sentinelle: le délai pour pouvoir marcher après m'être levée d'une chaise, moment où la douleur était vraiment fulgurante, comme si j'avais des aiguilles dans les hanches, plus particulièrement au-dessus de la tête du fémur selon mon ressenti. Ce signe s'est manifesté au cours de l'été.

J'ai essayé une des cures alimentaires qui me réussit: la cure Nouvelle Flore décrite dans mon livre Du gaz dans les neurones. Voir les effets dans le billet nr 4: calme dans les douleurs, mais tout reprenait dès que j'arrêtais. Or, les cures ont ceci de particulier face aux médicaments: bien menées, elles regénèrent. Bien ciblées selon profil, elles sont souveraines pour inverser une maladie autoimmune.

La cure calmait les douleurs, mais les hanches étaient toujours comme paralysées, HS. Signe pour moi qu'il ne s'agissait pas d'une atteinte autoimmune, une de mes hypothèses - rationnelle vu que j'ai déjà vécu une RCUH, maladie autoimmune.

Mi juillet, je passe à la cure alimentaire qui me réussit encore mieux: la cure carnivore qu'on peut appeler "monodiète de steak". Pour moi, dans tous les essais que j'ai fait depuis végane jusqu'au jeûne, c'est LA cure qui fait plaisir à mon petit corps. Pas à mes papilles, car c'est un peu lâââssant. Pas à mon coeur, car c'est peu sociable.

Info pour ceux qui seraient tentés: la cure doit être bien ciblée et on ne peut prédire si elle est efficace ou pas. Il faut tester. Je l'ai d'ailleurs refaite en février, avec effet nul sur les paralysies et les douleurs.

J'ai aussi pratiqué des mini-jeûnes, deux jours à la fois (pour votre info, ce n'est que passé les premières 48h que le corps se met en fonte de muscle; par ailleurs ce n'est qu'après 48h que le corps se braque, sachant qu'on lui refait le même coup que la dernière fois...). Pas de résultat. Zut alors. Et surtout: bizarre!

On peut se demander pourquoi je n'ai pas continué les cures, si elles diminuaient tant la douleur. J'ai tant l'habitude de l'effet regénérant des cures que j'ai pu repérer que, cette fois-ci, elles ne faisaient que cacher la douleur, la tamponner à la rigueur - comme le ferait une aspirine.

Il fallait que j'en sorte, pour continuer à m'interroger. Sinon, j'allais m'endormir sur mes lauriers.

Consciente de ce que la systémique de la médecine chinoise (MTC) est plus fine que notre approche conventionnelle, j'ai voulu prendre rendez-vous chez l'acupuncteur, médecin, qui m'a sauvée en 2000: le docteur An Huynh, à Bruxelles. Il semble avoir disparu. J'ai eu tant de mauvaises expériences chez d'autres acupuncteurs que je ne voulais que lui.

Je ne saurai pourquoi j'ai oublié la piste de la MtC jusque mars 2022... Une recherche cachant l'autre, une piste poussant l'autre, on se perd vite.

En août 21, ça s'est encore aggravé: les épaules se sont aussi bloquées, j'y sentais une forme d'inflammation osseuse, ça brulait sec dès le matin. J'étais presque convaincue d'être victime d'un cancer des os. Ah non, hein, j'en suis prémunie depuis la première tumeur en 1994, ça va pas revenir! La douleur irradiait les clavicules, de manière aussi équilibrée à gauche et à droite que dans le cas des hanches. Je ne pouvais plus me tirer par les bras en m'accrochant à la rampe, lorsque je montais les escaliers. On a envisagé d'installer ma chambre au rez de chaussée. Ah non ! Pas de résignation. Je continue à chercher.

J'envisageais aussi une maladie autoimmune, car les douleurs étaient absolument appariées gauche et droite (ce qui est un signe, à mon souvenir), mais il me fallait attendre pour faire des tests le mois de septembre que le médecin rentre de ce congé bien mérité après le chaos du corona. Ceci dit, j'y croyais moyennement car je sais que la cure alimentaire bien ciblée et bien menée est souveraine pour sortir d'une maladie autoimmune. Mais il ne faut pas fermer toutes les portes.

Pendant ce temps, on a pensé aussi à crise d'arthrose, polyarthrite rhumatoïde, hernie discale... Chaque copain retrouvait dans mes symptômes ses propres signes.

J'ai aussi commencé des séances de natation douce, où je faisais des exercices type gym, puisque ma copine le conseillait pour l'arthrose. Pire que tout! Je sortais cassée en deux.

Fin juillet, je vais consulter une chamane, pratiquant le jin shin jiutsu. Effet neutre.

Mi-août, une date butoir que je m'étais donnée: j'arrête la cure alimentaire et je reprends les recherches sur le net et autour de moi. Il me semble que mes symptômes ressemblent très, mais alors là très fort à ce qu'on appelle une ppr. Solution: corticoïdes. Que je ne veux pas pour l'instant.

Ma soeur me conseille des cortisone-like en gemmothérapie et en H.E. Aucun effet.

Fin août, je saute le pas: allez, hop, corticoïdes 8mg. En 2 jours mais quel bonheur! quelle souplesse. Je ne suis pas revenue à la vie d'avant, mais c'est drôlement confortable. Au prix d'une forme de suractivité physique et mentale, la dose doit être trop élevée.

J'ai continué à 4mg de cortisone par jour.

Que je combine à 1/2 paracétamol 500mg, 15 gouttes de gemmo cassis + HE sur hanches et épaules.

J'ai testé de la berbérine, craignant l'effet secondaire de la cortisone sur la glycémie. Ne change rien (j'utilise un testeur de glycémie).

Au passage j'ai testé la méthode de thermosiphon de Gardelle (voir billet 14). Si utile dans d'autres cas, elle a été vaine.

Septembre, après une consultation en analyse sur sang vivant, je teste de l'astragale comme adaptogène et du chrysanthemum pour la pierre au rein gauche. Effet après dix jours: neutre.

D'octobre à décembre, la médecin homéopathe m'a fait tout essayer pour que je puisse me débarrasser de la cortisone. Je ne peux faire la liste tant on a testé de trucs. En vain. Retour chaque fois à la corti. Au passage, hommage lui sont rendu car pour une homéopathe le choix de mon corps d'en passer par des techniques dures comme la corti et les antibios doit être dur à avaler...

Fin février (pourquoi avoir attendu si longtemps avant d'y penser?), je pense à l'hypothèse d'un mycoplasme fermentans réveillé par le stress des contraintes "sanitaires" et de la mort de nos libertés civiques, ainsi que par la virose de février 2020. Je teste de l'amoxycilline, ma drogue préférée. Pas d'effet. Coup de fil au médecin: c'est un autre type d'antibio qu'il faut, du Biclar Uno. J'en prends 5 à 7 par semaine, depuis mars 2022. Quand j'arrête plus de deux jours, les douleurs reviennent en force. Je suis donc en bithérapie: cortisone et Biclar.

Détail technique: la bromélaine conseillée par la médecin ne donnait rien, comme antiinflammatoire.

Fin mars, je teste du curcuma/poivre sur le conseil de la pharmacienne: effet neutre si pas négatif, on dirait qu'il désactive les effets des antibios.

Me rappelant le dossier que j'avais écrit sur le sujet, je m'autosupplémente en vitamine E, une des plus prodigieuses vitamines antiinflammatoires. Bof.

En mai, grand revirement. Une séance d'acupressure a relancé les processus de construction. Jusqu'ici les postures de yoga stretching ou de musculation ne donnaient rien. Niks de niks.

J'ai mis deux mois à trouver le bon praticien de shiatsu en Belgique, après en avoir testé trois autres (dont l'effet pour deux a été neutre, pour la troisième une aggravation). Je vais chez lui deux fois par mois. Depuis que le cycle de construction est ainsi relancé, je pratique mes postures de yoga/stretching tous les matins. Cela me dérouille: enfin! Auparavant: aucun effet.

J'ai dû arrêter les séances chez cet excellent praticien, qui se disait non vax pourtant, lorsque, par deux fois, j'ai fait une rechute le lendemain de la séance.

Ete 2022. Les manifestations bizarres se cumulent. Depuis quelques semaines, j'avais des pertes de sang dans les urines, phénomène que j'ai connu par poussées depuis juin 21. Ici: quotidien! Je pissais du vin de bordeaux, quoi. Sans douleurs, ni urètre ni reins. NB. Cela ne s'est arrêté qu'avec la prise d'ivermectine/HCQ. Ce n'est pas revenu ensuite.

J'ai aussi découvert les joies de l'urticaire, ce qui n'est pas dans ma nature profonde. A 68 ans, collectionneuse de maladie, je n'avais jamais connu cette envie de s'ôter la peau tant ça démange. Mon médecin traitant m'a bien aidée, mais ça ne prévenait pas les crises d'urticaire, ça les tamponnait seulement;

Fin août 2022. Je n'ai plus fait d'essai médicamenteux depuis lors, mais il faut absolument que j'arrête la cortisone. Primo, j'ai fêté l'anniversaire d'un an de prise de cortisone: 4mg, puis 2 mg par jour. Il faut bien arrêter un jour, si ça ne sert que de pansement, non guérisseur. Secundo, j'ai trop d'effets secondaires. Depuis un an, je m'étais habituée à ma perte de mobilité mentale sous cortisone: parfois j'avais l'impression d'être un chien devant un couteau en lisant un nouveau texte. "Ddduh"... J'avais aussi accepté la diminution de ma mémoire (réputée d'éléphant), tout plutôt que de revivre des pertes de fonction mobile et des douleurs trop fortes.

Depuis quelques mois, des taches apparaisssaient sur la peau. Je me faisais des bleus pour rien. Mon homme se demandait si je n'avais pas un amant violent ;)

Je n'ai toujours pas d'effet sur la glycémie, je me lève à 0.83g et j'y reviens facilement après un repas. Toujours le même chiffre magique ;)

Ostéoporose: je ne sais pas, n'ayant pas testé. Mais je prends du bouillon quasi tous les jours, pour le goût et pour ses effets thérapeutiques divers, dont le maintien de la structure osseuse. Effet secondaire casse-pieds de la cortisone: je dois uriner dix à quinze fois par jour, même peu. Suis pas habituée. Au moins, je ne dois pas me lever la nuit. Enfin, je suis sûre que la cortisone a un impact sur le SNA et me branche en orthosympathique quasi permanent. Déséquilibre toxique à moyen et long terme.

Tertio, j'ai pris la cortisone sur la foi de la documentation scientifique: une grande partie des malades est guérie naturellement après un an de cortisone. Un an: encore dépendante. Je pense comprendre: il ne s'agit pas d'une PPR ordinaire, mais bien d'une PPR vaccinale. Je ne peux donc me baser sur les retours de médecins et les études sur la PPR classique. Exit donc la cortisone.

Quarto, voilà quelques mois qu'un autre hypothèse m'est venue, suggérée par un médecin rencontré par hasard et confirmée par mon homéo: cette PPR ressemble furieusement, par son atteinte endothéliale, à un effet du vaccin. "M'enfin, j'ai refusé le vaccin, cher ami. D'ailleurs je n'en fait plus depuis 40 ans". En suivant Hélène Banoun sur tw, du CSI, j'ai découvert qu'on pouvait être victime de contamination vaccinale pour ces thérapies géniques à ARNm, ce qu'on appelle shedding.

Cela ferait sens que j'ai développé cette maladie au moment où on vaccinait à tire larigole en été 2021 (les vieux début 21, les soignants mars).

Depuis dix jours, je diminue la cortisone en ne prenant que 2mg tous les 3 jours: effet ++ le jour de la prise, ralentissement et grincements dans les hanches et épaules le jour 2 - et le jour 3, j'ai l'impression d'avoir 84 ans, je n'attends que le lendemain pour en reprendre. Je reviens donc à 2 mg tous les jours.

J'ai donc choisi, à la faveur de l'arrêt de la corti, de partir vers un protocole "désactivation des effets du vaccin" (puisqu'on ne peut dévacciner quelqu'un, surtout avec les inventions folles récentes). Personne ne pourra tester si j'ai bien intégré l'ARNm bidouillé, seul le protocole que je vais amorcer sera probant. Je suis d'autant plus motivée à tester cette piste que mon médecin dit avoir plusieurs PPR après vaccin dans sa patientèle, depuis un an. Normal, c'est une artérite ou inflammation vasculaire, ça ressemble bien à l'effet de misteur spikeu sur l'endothelium.

Je l'ai envisagé dans le dernier billet : ivermectine et plaquénil en doses très personnelles (mini), en continuant le Biclar Uno et la vitamine E. Trithérapie contraire à mes principes unicistes, mais je ne vais pas mourir pour des idées, n'est-ce pas?

Rappel ivermectine. Le traitement standard est de 3mg*6gélules en une fois, pour ma taille et mon poids (à prendre au quotidien selon FLCCC pendant 4 à 6 semaines). Or je me sais hyperréactive à certains produits (pas tous, la cortisone fut mon amie pendant un an). Je commence donc par une dose bien plus réduite, un jour sur deux, que l'on a testé au pendule (eh oui!): 1.5mg tous les deux jours - ce qui m'amène à 0.75mg quotidiens qu'on compare aux 18mg du protocole conventionnel. J'ai l'habitude de très bien réagir à des microdoses et de criser avec des doses classiques. Rappel plaquenil/hydroxychloroquine:prévu 100mg/jour pendant 2 mois. Biclar Uno: je n'ai strictement aucun effet secondaire avec ces antibios, même après six mois de prise non-stop. Je garde!

Dans dix jours, j'ajoute une cure alimentaire, pour magnifier les effets de ce nouveau traitement. Sauf si j'ai surréagi entre-temps, ce que seuls les autres "canaris de la modernité" comprendront. Entamer une cure alimentaire efficace maintenant serai contreproductif: je ne pourrais évaluer les effets du nouveau traitement.

NB. Le traitement a vite perdu de ses effets. Je n'ai pas compris alors. Ce n'est que début 2023 que j'ai compris que les crises reprenaient à chaque contact épidermique avec un vacciné (quel que soit le nombre de doses) ou la présence dans une pièce fermée avec un vacciné trois doses. Désormais à chaque contact je fais une crise après 24h, qui se maintient, et je dois reprendre le traitement cortisone/ivermectine pour pouvoir remarcher.



Lire la suite ou  Retour au sommaire