5.6.23 Suite de mon carnet et détails sur la naltrexone bas dosage (LDN ou low dose naltrexone) que j'utilise depuis dix jours: infos, vidéos, forums, dosages, ma pratique. NB sur la transcription de vidéos.
Suite de mon carnet et détails sur la naltrexone bas dosage (LDN ou low dose naltrexone) que j'utilise depuis dix jours: infos, vidéos, forums, dosages, ma pratique. NB sur la transcription de vidéos.
Rappel des 28 premières pages du dossier. La PPR qui me pourrit la vie est probablement un effet du pseudovaccin actuel, alors que je suis nonvax. Je serais victime de shedding au point que je ne peux plus toucher des vax sans faire de crise de PPR, qui entraîne la prise de double dose de cortisone et d'antibios + la prise d'ivermectine + le repos couchée. Cher payé, le bisou aux copains! J'envisage, avec mon médecin, que ce nouveau traitement pourrait renforcer l'immunité au point que je ne serai plus fragile face à la spike vaccinale et que je pourrai quitter cette vie d'enfant-bulle de 68 ans. J'utiliserai l'abréviation anglophone pour la naltrexone bas dosage que je prends: LDN. Voir la courte première présentation dans le billet précédent.
Lors d'une dernière consultation avec mon médecin traitant, on a décidé de cette nouvelle stratégie: si par hasard je suis en contact avec un vax, prise immédiate d'ivermectine pendant 3 jours et de la bithérapie cortisone/antibios pendant dix jours; entre-temps, amorcer la LDN, à laquelle j'ajoute ma cure Nouvelle flore. Selon Cowan, LDN ne semble pas efficace chez les personnes sous cortisone ou opiacés (qui, selon lui, inhibent l'immunité cellulaire au même titre que les antibios, les vaccins, certains pesticides/herbicides comme glyphosate). Tiens, surprise, c'est contredit par d'autres médecins et pratiquants, mais j'ai choisi de le suivre, alors soyons cohérente.
A la première lecture, j'avais balayé comme secondaire la prescription de LDN dans le protocole de FLCCC pour se guérir des dégâts du pseudovax actuel. J'ai mieux compris grâce à Cowan. Le produit LDN, en dosage classique à 50mg quotidiens, est un antagoniste des opiacés. Il est utilisé dans les périodes de sevrage alcool/drogues. Il semble que ce soit, à très faibles doses (2 à 4mg par jour), un outil très efficace pour relancer l'immunité cellulaire, lorsqu'elle est inhibée en faveur de l'immunité humorale. C'est l'explication qui me convainc le mieux dans les divers exposés écoutés sur https://ldnresearchtrust.org/how-low-dose-naltrexone-works
C'est l'hypothèse de fonctionnement exposée par le dr Tom Cowan, qui utilise de très basses doses de naltrexone en particulier pour traiter des maladies autoimmunes comme RCUH et Crohn, polyarthrite, SEP, etc - en les combinant à d'autres produits, homéopathiques et anthroposophes, et à la tenue au moins six mois d'un régime SCD basé sur des nourritures vraies (version ressourçante de ma cure Nouvelle Flore). LDN est le seul médicament allopathique qu'il prescrit. Ce que je viens de découvrir dans un de ses livres, que j'ai terminé 2023: il commence le dosage, le soir, à 1.5mg ou 4mg et rectifie mois par mois. L'écouter en vidéo en anglais sur YT: "Low Dose Naltrexone Prescribing Doctor Thomas Cowan shares his experience". Ou ma version, où j'ai enregistré les sous-titres EN, sur Rumble: https://rumble.com/v2pp04g-ldn-mcanisme-selon-le-dr-cowan.html
Transcription automatique et traduction ultérieure automatique, un peu revue par mes soins, à partir de minute +- 8':
(…) Il y a bien sûr beaucoup de façons différentes de tomber malade, mais la principale façon dont nous tombons malades est que nous avons deux systèmes immunitaires : le premier est appelé système à médiation cellulaire, autrement dit th1, et le second est appelé système huméral, autrement dit th2.
Le système à médiation cellulaire se débarrasse des agents pathogènes intracellulaires, c'est-à-dire à l'intérieur de la cellule. Le système th2 ou huméral produit des anticorps et se débarrasse des organismes, généralement des organismes plus grands comme les vers, avant qu'ils n'infectent la cellule.
La médiation cellulaire est basée sur les globules blancs qui digèrent les cellules infectées et les recrachent à travers le mucus, les éruptions cutanées, la fièvre, etc.
Par exemple, dans le cas d'une maladie naturelle comme la varicelle, le virus infecte la cellule. Si vous n'avez jamais rencontré ce virus auparavant, cela provoque une réaction à médiation cellulaire, ce qui signifie que vous êtes malade pendant une semaine à 10 jours, avec de la fièvre, des éruptions cutanées, des mucosités, de la toux, etc. donc si vous rencontrez à nouveau le virus de la varicelle, il ne vous infecte pasLa chose importante à savoir à propos de cette situation est que ce que nous appelons "être malade" est une réponse à médiation cellulaire; ce n'est pas le virus qui nous rend malade le virus déclenche une réponse à médiation cellulaire. Mais vous pouvez rendre quelqu'un malade en lui donnant simplement les produits chimiques qui stimulent une réponse à médiation cellulaire
D'autre part si vous supprimez la réponse à médiation cellulaire avec disons de la cortisone ou des opiacés, alors vous pouvez être infecté par un virus il peut même vous tuer mais vous ne serez jamais ce que nous appelons malade
Il est donc important de savoir que ce que nous appelons "maladie" est une réponse à médiation cellulaire et que nous nous souvenons ensuite de ce qui s'est passé pour ne pas le reproduire - comme je l'ai dit, cela se produit avec toutes les infections naturelles.
La médecine moderne a été fondamentalement une attaque contre la réponse à médiation cellulaire. Ainsi, chaque fois que nous tombons malades, nous recevons des antibiotiques, des antipyrétiques (fièvre, tylenol, aspirine, etc.) ce qui supprimera la réponse à médiation cellulaire. Nous donnons aussi des vaccins qui pour la première fois dans l'histoire de l'humanité stimulent une réponse humérale sans réponse à médiation cellulaire. La raison en est que, si vous donnez à quelqu'un un vaccin contre la rougeole et qu'il tombe malade, les parents se plaindraient vous venez juste de rendre mon enfant malade.
(...) Les maladies auto-immunes sont un échec de la réponse à médiation cellulaire. La définition d'une maladie auto-immune est un excès d'anticorps. C'est ainsi que nous diagnostiquons la thyroïdite de hashimoto: nous recherchons des anticorps; c'est ainsi que nous diagnostiquons la polyarthrite rhumatoïde: nous recherchons des anticorps.
En général, pour toutes ces maladies auto-immunes la définition est une situation d'augmentation des anticorpsn c'est à dire une augmentation de l'immunité humorale par rapport à l'immunité à médiation cellulaire. C'est également la situation avec le cancer:
il n'y a pas d'immunité humorale contre le cancer; l'immunité contre le cancer est un phénomène à médiation cellulaire via les globules blancs. Donc vous avez un système médical qui s'attaque à la réponse à médiation cellulaire et qui pousse ce qu'on appelle le passage de th1 à th2 de sorte que des millions de personnes se promènent avec trop d'anticorps et une réponse à médiation cellulaire supprimée. Vous obtenez ainsi beaucoup de maladies auto-immunes et de cancers. Ce passage peut également se produire par l'abus chronique d'opiacés.
Vous avez demandé comment fonctionne la naltrexone. Une partie du mécanisme de réponse à médiation cellulaire est stimulé par la réponse endorphinique. Les endorphines sont des opiacés endogènes, donc lorsque vous donnez aux gens des opiacés exogènes comme la morphine, vous supprimez la réponse à médiation cellulaire. Ils ont plus de maladies immunitaires plus de cancers. Par contre si vous stimulez les endorphines, vous stimulez une réponse à médiation cellulaire saine et vous contrecarrez cette tendance au cancer et aux maladies auto-immunes.
C'est ainsi que fonctionne la naltrexone ou la naltrexone à faible dose. En stimulant la réponse endorphinique, vous engagez essentiellement la réhabilitation du système immunitaire à médiation cellulaire
Nous avons beaucoup de guerres: la guerre en Afghanistan, la guerre en Irak, la guerre contre la drogue, la guerre contre n'importe quoi, mais nous avons aussi une guerre contre le système immunitaire à médiation cellulaire. Le problème est que, contrairement à la plupart des guerres, nous sommes en train de gagner cette guerre, ce qui a d'énormes conséquences pour notre santé. C'est pourquoi la naltrexone à faible dose est un médicament si universel, car ce mécanisme est à l'œuvre dans l'asthme, les allergies, l'eczéma, les maladies auto-immunes et le cancer, ce qui représente probablement 60 % des maladies chroniques dont souffrent les gens.
En termes plus structurés que l'oral, un extrait de pdf du site LDN, traduit en FR
"Comment agit la Naltrexone Naltrexone: Le bénéfice du produit est apparemment dû à l’inhibition temporaire des endorphines. Cela provoque une augmentation réactionnelle de la production d’endorphines qui doit produire une diminution des symptômes douloureux et l’augmentation de la sensation de bien-être. Cette augmentation du taux d’endorphines est sensée stimuler le système immunitaire et en provoquant une augmentation du nombre de lymphocytes T. Cet effet a été observé dans les travaux du Dr Bihari. Cette augmentation du nombre de cellules T rétablit un meilleur équilibre de ces cellules T de telle façon que les effets de la progression de la maladie sont significativement ralentis. On a observé chez des patients souffrant de sclérose en plaques à poussées rémittentes que le nombre de poussées est diminué et le taux d’aggravation de la maladie est amoindri. Dans les formes de sclérose en plaques de type progressif (qu’elles soient primaires ou secondaires), il semble y avoir une diminution similaire dans l’aggravation des symptômes de la maladie. "
Le reste du texte est pour les pros ( cellules T et CD4), c'est du chinois pour moi
Je mets mon petit carnet de côté pendant cette expérimentation, car
"A l’instauration du traitement de LDN, il peut y avoir une aggravation temporaire des symptômes comme un affaiblissement, des changements sensitifs, des spasmes musculaires, douleurs, fatigue ou surfatigue. Ces symptômes initiaux peuvent aussi s’expliquer par des modifications dues directement à la baisse des endorphines cérébrales tels un sommeil perturbé, avec parfois des cauchemars vifs bizarres et perturbants. Ces symptômes disparaissent habituellement dans les premières semaines du traitement et cèdent la place à des améliorations des symptômes spécifiques. L’augmentation initiale des symptômes peut également être expliquée lorsque nous considérons la façon dont le médicament est efficace. Contrairement à la croyance commune que la SEP est due à une suractivité du système immunitaire, celle-ci se est effectivement due à une réduction de l’activité du système immunitaire. Plus précisément, c’est la réduction du nombre des cellules T suppressives au sein du système immunitaire qui permet aux cellules T helper CD4de faire des dégâts. Ainsi, lors d’une rechute aiguë le nombre total de cellules T est réduit, l’équilibre normal de l’aide et cellules T suppressives est perturbé, et les cellules T-helper ont tendance à prédominer. Cela est plus prononcé au cours d’une rechute aiguë, mais une situation similaire se produit bien que peut-être à un degré moindre, dans la SEP progressive chronique. Il a été démontré qu’en présence de LDN, le nombre de cellules T peut augmente de plus de 300%. Par conséquent, lorsque le nombre de cellules T est d’abord augmenté, la prédominance des T auxiliaires CD4 peut augmenter temporairement certains symptômes. Toutefois, comme le nombre de cellules T continue d’augmenter l’équilibre normal suppresseur de cellules T auxiliaires est rétabli, l’activité et l’intensité du processus de la maladie est réduite, et les symptômes à nouveau diminués. Pour moins de cinq pour cent des cas traités, une augmentation des symptômes d’introduction peuvent être plus graves ou durer plus longtemps que d’habitude, parfois pendant plusieurs semaines. Rarement, les symptômes persistent plus de deux ou trois mois avant que la réponse appropriée et les bénéfices soient obtenus. ." (extrait du pdf)
Je suis consciente, en écrivant ce premier jet, que tout ceci peut paraître confus pour un profane. Je le reformulerai un jour, mais ce carnet est surtout l'occasion pour moi de structurer mes notes d'auto-observation (la petite souris qui est son propre laborantin...). Il est aussi utile pour partager mes questionnements avec des amis du monde médical, assez ouverts pour entendre la possibilité d'un shedding vaccinal.
J'ai testé deux solutions pour répartir le comprimé en 12 parts.
La première, copiée sur mes années de céramique (et les procédures des toxicos, me dit mon fils): écraser 1/2 comprimé, en faire un joli carré, le diviser au couteau en 6 parts ( 6 * 2 fera 12). Garder en petit paquet. Voir photos
La deuxième solution, plus simple: laisser fondre un comprimé dans 100ml d'eau. Prélever un douzième par jour, à la seringue: 8ml. Voir photo. Une seule photo tant c'est simple. NB. Ultérieurement, j'ai marqué la hauteur de 100ml au marqueur indélébile pour ne plus devoir utiliser la balance
Hier soir, 4/6, j'ai pris la dixième dose de 4mg de LDN. Ce onzième jour, je peux confirmer son effet antiinflammatoire sur mon cas actuel. Je n'utilise quasi plus de cortisone, plus aucun autre médicament. J'ai continué les cataplasmes d'argiles sur le genou droit (ligament blessé) et je m'oins les épaules et les hanches d'huiles essentielles ad hoc (plus par foi que par raison, je pense).
Je suis encore raide, faut pas rêver. Mais je ne me fais plus l'effet d'être R2D2 de la Guerre des Etoiles, quand il rouille. Pour la première fois depuis lllllongtemps, j'ai pu me lever d'une chaise sans les bras. Joie! La joie n'est pas tant que les douleurs ont fort diminué, c'est que les nerfs et les muscles répondent. Difficile d'imaginer de l'extérieur la forme de rage (ou d'inquiétude?) vécue quand certaines parties du corps ne répondent plus. Je résumais en "une forme de paralysie", pour faire simple.
Avant-hier, j'ai même pu faire de l'escalade. Enfin, soyons plus précis: couper des arbres et des branches dans une partie très pentue du jardin (genre 45 degrés, sous-bois et plein de feuilles glissantes), en m'accrochant à divers arbres. Epaules et genoux ont été à rude épreuve. Opération que je n'ai plus osée faire depuis près de deux ans: il aurait fallu me récupérer au treuil ;) Eh oui, quand on ne sait plus commander à ses muscles...
J'ai suivi cela d'un après-midi très actif au potager, si heureuse que j'en ai oublié de mettre la genouillère qui dorlote le genou droit. Pas de surprise: le lendemain, hier, nonobstant le LDN, R2D2 a fait son retour. J'ai certes mal au muscles, qui se refont de toute évidence, mais j'ai aussi rallumé la douleur profonde, celle que je dis "des os" (alors que ce sont les artères touchées dans cette maladie). Hier, j'ai fait donc jour repos, sans bosser dehors, et j'ai doublé la dose de cortisone (4mg au lieu des 2 ou 1 habituels, mes fameuses "poussières" de cortisone qui, selon la pharmacienne équivalent à ne rien prendre - eh bien si je prends rien je vois la différence, donc en route pour mes microdoses de prednisolone).
Hormis cet épisode à la Jackass, je trouve l'effet de la LDN assez remarquable, chez moi. Et ce, dès les premiers jours, en outre; alors que les médecins américains qui la prescrivent demandent que les patients attendent quelques semaines avant d'en ressentir les effets. Peut-être le traitement est-il magnifiée par le fait que j'ai amorcé il y a dix jours ma cure Nouvelle Flore (mon libellé pour ma version de SCD alias RGS) - en ajoutant un atout: là où, dans mon livre Du gaz dans les neurones, je n'exige pas d'achat de qualité spécifique (même pas bio!), je pratique la cure en nourritures vraies: aucun additif ni résidu, tout fait maison à partir de produits bruts, tous bio.
NB. Nul besoin d'acheter le livre. Si vous êtes attentif, vous pouvez vous organiser une cure en lisant les extraits que je partage sur le site de ma maison d'éditions: Bonus D'ici quelques jours, je présenterai la cure en résumé.
S'il faut chiffrer selon mes codes habituels, je suis à M8 D8 N8 (pour Mobilité, Douleurs et Nerfs). Je prends en compte que je suis aussi au 10è jour sans contact avec vax (même pas dans un magasin!). C'est généralement le délai où les douleurs et raideurs disparaissent, avant ... le prochain contact (c'est en tout cas mon observation sur plus de six mois). Je réessaye un contact dans dix jours, on verra bien.
La panacée n'existe pas, la LDN ne semble efficace que chez 70% des patients, selon les médecins qui l'utilisent. Ce n'est pas loin des 80% de résultats positifs que j'exige des cures alimentaires que j'ai adaptées dans mes divers topos. Serais-je parmi les 7 personnes sur dix qui trouveraient réconfort dans ce médicament-là? Attendons, vérifions. Je me donne encore dix jours de LDN avant d'essayer un nouveau contact vax, où je verrai bien si je suis enfin prémunie de ce shedding.
La LDN a été découverte par hasard alors qu'un médecin newyorkais suivait des cas de sidéens sous naltrexone. En jouant avec les dosages pour ses recherches, il a observé les effets remarquables sur l'humeur, l'immunité, les résistances en général dès lors qu'il diminuait le dosage au dixième. Petit à petit, merci les gars du SIDA, ces infos ont percolé chez les autres malades chroniques: SEP, polyarthrites, fibromyalgies, maladies autoimmunes, cancer, etc. Désormais, aux Etats-Unis, la LDN est connue et prescrite assez couramment chez les malades chroniques, en complément avec les médicaments classiques. Elle semble aussi efficace dans les cas d'autisme après vaccin. Mais elle n'apparaît pas (encore) dans les medias médicaux classiques, alors que des recherches cliniques sont pourtant disponibles. Elle commence à être prescrite en Europe, dans le cadre des "covid longs".
Je comprends qu'outre les facteurs économiques d'autres raisons expliquent ce manque d'entrain. La LDN fonctionne comme un adaptogène, concept bien connu en nutrithérapie et pharmacopée chinoise: elle calme ce qui flambe et rallume ce qui dort. Ces concepts holistiques, flous il faut le reconnaître, ne conviennent pas à la médecine classique, qui veut chiffrer, coder, repérer et prescrire selon la maladie, et non selon le malade.
Autre raison d'un manque d'amour de la médecine classique pour cette molécule repositionnée en sous-dosage, qui provoque carrément des déclarations d'amour chez des pharmacologues au vu de ses effets positifs et multiformes et son manque d'effets secondaires, autre raison disais-je: la LDN demande clairement la collaboration du patient, car le dosage n'est pas fixe. Il n'est même pas fonction du poids. Ouille ouille, ça craint pour un médecin classique, on le comprend.
Je n'ai eu aucun des effets secondaires annoncés sur le site officiel, à part un court épisode de tremblement des mains (2 minutes) le soir de la prise de 6mg.
Si vous suivez les pistes d'infos ci-dessous, ne vous laissez pas tromper par la qualité trop américaine des commentaires sur les forums. Sachez qu'aux States, les malades chroniques sont légion et qu'ils cumulent parfois plusieurs diagnostics simultanés. Ils ont dix à vingt d'ans d'avance sur nous, rayon déglingue. Les hyper-hyper-fragiles parmi eux ne toléreront que 0.5mg par jour. Et encore! Certains praticiens doivent descendre aux microgrammes. Je gage qu'en Europe, nous n'arriverons pas (encore) à de telles dérives. Il semblerait qu'hors cas bizarres, la dose moyenne acceptable est de 4mg quotidiens, parfois pris en deux doses. Les plus fragiles parmi nous pourraient essayer 2 mg et augmenter doucement, par mg.
On se doute qu'en cas de gross stress, la LDN ne fera plus d'effet ou devra être autrement dosée. A étudier avec votre médecin.
Il existe certes quantité d'adaptogènes en version naturo. Les dieux de la santé ont décidé que le corps qui m'a été donné dans cette vie-ci ne métabolisera pas bien l'homéopathie ou la phytothérapie. Il veut du pondéral, et allopathique! Un comble pour un esprit qui ne croit qu'à la force de l'holistique, si possible uniciste.
Adaptogène serait bien le coeur d'effet. Un exemple. J'essaierai de reproduire le test d'hier dimanche prochain. Hier, dimanche, jour de sortie hebdomadaire de cure Nouvelle Flore: je m'autorise du bon pain beurré le matin, des biscuits à 16h. Même hors cure, quand je mange du pain le matin, j'ai une "attaque de sommeil" (une sloepattack en bruxellois) dans les 20 minutes qui suivent. J'aime tant le pain que, tant pis, je file sur mon galetas et je dors une demi-heure. Hier: rien, niks, nothing, j'ai fonctionné comme en temps normal. Des pratiquants indiquent sur les forums qu'ils n'ont plus leurs réactivités habituelles, j'y croyais à peine.
On ne m'a pas demandé mon avis, je le donne quand même. D'après ce que je conclus de mes lectures et visionnages de vidéo, ce LDN semble bien être un rééquilibreur de ce qui a été déglingué par les vaccins (grippe, tétanos, covid, etc.), càd un anti-vaccin. Non, pas un "antivax" selon les paresseux qui aiment les positions bipolaires, mais bien un produit qui désactive les effets délétères des vaccins. Lecteurs de ce site, vous savez que je suis biaisée: voilà 40 ans que je suis très prudente face aux vax. A l'époque j'ai étudié le dossier pour les vaccins obligatoires de ma fille aînée. Depuis 20 ans, je suis carrément opposée, et farouchement, toujours pour des raisons politiques et éthiques, mais surtout parce que, dans ma pratique d'audits nutrition santé, j'ai pu voir que quantité de maladies autoimmunes ou de cas d'épuisements chroniques étaient liés à un récent vaccin. Chez les personnes fragiles l'un ou l'autre vaccin avait servi de déclencheur majeur de maladie - sur le même pied qu'un deuil, qu'un accident, que d'autres mégastress de la vie. Je ne suis pas médecin, mais je peux observer avec attention.
Bref, cela ne m'étonne pas que LDN soit un standard de première ligne chez les médecins qui soignent les dégâts du pseudovaccin actuel, ceux qui suivent le protocole de la FLCCC américaine, par exemple (existe aussi pour le covid "long").
Si le patient et le médecin sont prêts à s'adapter à ce nouveau fonctionnement, comment procéder pour générer des microdoses?
Je détaille comment j'ai procédé pour le premier essai, pour produire "environ" 4mg.
NB juillet - version liquide: j'ai vite compris qu'il était plus simple de laisser fondre un comprimé dans 100ml d'eau et de consommer chaque jour un douzième de ces 100ml (je calcule à la seringue sans aiguille). Chez moi, le comprimé fond en une heure. Je garde le bocal (bas et large, à couvercle) dans le frigo, par sécurité vu la durée de vie de cette dose (douze jours). Imaginez quelqu'un qui ne prend qu'1mg par jour, ce qui est assez courant. Ceci lui durera 50 jours... Il vaut mieux garder au frais.
Je ne fais pas de prescription ici. Je partage mon aventure perso, pour ceux qui comme moi ne trouveraient pas beaucoup d'infos en français.
En Belgique, la naltrexone est en vente sur prescription: 50mg par comprimé. 58€! non remboursés, zut alors. Il faut croire qu'on veut punir les toxicos de vouloir se sevrer... La prochaine fois, j'achèterai en France, où le même médicament coûte 28€ (pprobablement à cause des interventions de la région). 58€ pour 28 comprimés qui devraient me suffire pour un an en faible dosage à 4mg. J'ai pas chipoté, j'ai acheté.
Restait à savoir comment produire du 4mg: soit en sec, soit en liquide (mon prochain essai).
En sec. J'ai fait des photos de la procédure que je copie de mes années en céramique, quand je concevais des formulations de glaçure au milligramme (mon fils reconnaissait des pratiques de prise d'autres types de médicaments...).
Je coupe un comprimé en 2, j'ai donc 25mg. J'écrase ce demi- comprimé, je vire la pellicule jaunâtre. Je fais un petit tas rectangulaire ou carré. Je divise au couteau en 6 parties. Je répartis chaque microdose d'un sixième dans un papier que je récupère du bureau (servait à des étiquettes, le restant est brillant comme du papier sulfurisé de cuisine - faudrait pas la poudre colle). Je referme et je stocke.
Avant de prescrire, votre médecin voudra peut-être étudier le mécanisme de la LDN, les possibles effets secondaires (voir intro ci-dessus) et les autorisations d'utilisation. Il trouvera quantité d'infos sur le site de la fondation LDN :
La LDN est de plus en plus utilisée chez nous pour les cas de covid longs, elle commence à être connue.
L'explication la plus claire pour un profane (munissez-vous tout de même d'un crayon, c'est dense!) est celle du dr Been: "Low Dose Naltrexone (LDN) - Mechanism of Action". Sur PC on peut brancher les sous-titres automatiques en français. Sur smartphone pas, hélas.
Pour info, je partage ma pratique d'indexation lorsque je visionne une vidéo intéressante comme celle du dr Been. Ou quand je veux lire le texte (qui trouve le temps pour toutes ces vidéos s'il n'est pas tisserand ou fileuse comme moi?).
Comme il n'y a pas d'index dans les vidéos, je copie/colle souvent la transcription sans horodatage, en un long texte d'un seul long paragraphe. Cela me permet de rechercher ensuite sur mon disque dur selon contenu.
NB. Ceci est une procédure low-cost en énergie et talents, du bricolage bien utile; mais rien à voir avec la haute technicité de la procédure partagée par Bernard Bel sur son site de veille scientifique: Caption manager ou gestion des sous-titres
Je copie le tout, je colle dans un logiciel texte. Je pourrai ensuite retrouver le contenu au travers du disque dur en tapant dans l'explorateur de fichier windows: "contenu: xxx"; au lieu de taper un mot qui ne serait retrouvé que dans les noms de fichiers.
Voir un exemple de la transcription, quasi brute. J'ôte juste en automatique les retours de ligne. Il s'agit du texte de la vidéo Bullseye sur la LD