Page 8 du dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), début 2020. Jusqu'à ce qu'on me démontre le contraire, je conclus de mes interactions en nutrition depuis plus de 20 ans ceci: les personnes qui crient au complot quand un esprit libre montre son esprit critique face aux media de grand chemin sont des personnes trop croyantes pour accepter certains faits qui déboulonneraient les statues qui leur tiennent lieu d'idoles. Splication dans l'article où je reprends un long billet fb, que missiz Clinton illustre bien dans le gif ci-joint: "je crois à la science", c'est un acte de foi, pas de réflexion ;)
Jusqu'ici, tous les intervenants, je dis bien "tous", en direct, en forum ou sur réseau social, depuis 20 ans, m'ont répondu à côté de la question quand je les interrogeais sur ce qui, profondément, les dérange quand ils doivent imaginer une stratégie de lobby qui aurait infiltré les milieux scientifiques.
Je partage aussi sur cette longue page mes interventions autour de la Pravda médicale, alias la voix de son maître, et autour de la censure des réseaux sociaux (particulièrement contre les "antivax").
Ce chapitre du dossier est intimement lié à "Chloroquine et l'affaire "Raoult": rions un peu"
Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement.
Avis au lecteur, 16.5.2023: ce sont encore des billets collés les uns derrière les autres.
Les liens seront établis sous peu, pour un texte suivi.
Fin mai. Pour rejoindre ce que j’énonçais dans le billet de ce matin, quiconque serait intéressé de découvrir ce que j’ai accumulé comme recul en 20 ans de pratique d’un regard latéral sur les annonces scientifiques; et de comprendre pourquoi je refuse systématiquement de faire la liste des «sources scientifiques» de mes propositions en nutrition, ce quiconque donc découvrira un état des lieux superbement clair dans le dernier article de Jean-Dominique Michel, état rédigé à l’occasion de la polémique FR sur l’hydroxychloroquine. Article long mais capital! Profanes du domaine, attendez-vous à être secoués Lire Covid-19 : fin de partie
Ce qui se passe aujourd’hui est pour moi une leçon gigantesque en direct, pour tout le public : bravo les scientifiques, vous faites un travail remarquable, on vous admire, mais vous n’avez pas le monopole des vérités. Si on vous laissait le temps, à la rigueur (et le calme voulu !), mais ici et maintenant, je prends ceci comme une leçon d’humilité pour les scientifiques et une leçon de confiance en soi pour le public : ne vous prosternez pas devant toute autorité parce qu’il/elle est scientifique de formation. Utilisez votre jugeotte, vérifiez, calibrez, corrigez selon votre environnement propre. Et restez confinés, mais oui on est bien d’accord. Question de solidarité, sinon toute la classe va être punie.
J’ai entendu Etienne Klein, que j’admire d'habitude, répéter le même argument que le maire de NY (article joint), argument qui semble sorti d’une brochure «que dire autour du covid»: en gros, il est formidable que l’humanité mette aujourd’hui le prix de la vie plus haut que l’économie.
C’est immoral! et c’est impensé: combien de désastres psy, combien de divorces et de suicides, combien de petites entreprises en faillite, combien de morts précoces parce qu’on a interdit les procédures médicales habituelles, combien d’enfants battus par des parents outre-alcoolisés (déjà des petits morts au Texas, par exemple), combien de traumatismes de l’enfermement et de l’incompréhension, combien de deuils mal menés pour ne pas avoir pu accompagner nos Anciens dans leurs dernières heures ou même au cimetière, combien d’habitants de maisons de retraite délaissés, si pas euthanasiés? Ont-ils pensé aux nombres de morts que provoqueront les mesures? L’ont-ils comparé aux morts «par covid» (dont on sait ce que cela signifie: «bof, mettez covid sur le certificat de décès»). C’est ça «le prix de la vie»? Evaluer ce qu’on a sous le nez, sans imaginer les séquelles? Evaluer la vie pure sans estimer la qualité de la vie? On perd tant de libertés pour «la vie»?
On est bien dans des «éléments de langage», des arguments transmis sur papier glacé à des magazines, que le lecteur s’empresse de gober car ils sont si confortables.
Juillet. Article surtout pour le personnel médical. Lire https://www.revuepolitique.fr/covid-19-une-defaite-francaise/ Une revue historique de la pantalonnade atroce que nous venons de vivre et qui souligne point par point le désarmement de la médecine de terrain qui en a été une des sources. Par Dominique Andolfatto, professeur de science politique, Credespo, Université de Bourgogne Franche-Comté et Dominique Labbé, chercheur associé en science politique, Pacte-CNRS, Université de Grenoble-Alpes.
Ils analysent entre autres la double cassure que l’on peut déduire des statitstiques transmises dans le rapport de la mission d’information parlementaire (consultations urgences et généralistes).
Extraits: «Alors que la France consacre 12 % de son revenu national à la santé, pour la première fois de l’histoire contemporaine, des centaines de milliers de personnes, assurées sociales, se sont vues refuser une rencontre avec un médecin, l’écoute et les soins auxquels ils avaient droit.
Outre le drame psychologique ressenti par ces personnes abandonnées à leur sort, les conséquences en termes de santé publique sont évidentes et dramatiques.»
(...)
« Avec le manque de matériel de protection et de tests, les principales causes de l’hécatombe française résident dans la démobilisation des généralistes et dans le refus de les laisser libres d’exercer leur métier de médecin».
(...)
«(...) les autorités ont choisi un confinement dur et le pilotage administratif du système de soins. Manifestement cette voie n’était pas la bonne et l’autosatisfaction qui prévaut aujourd’hui chez les dirigeants français ne doit pas cacher des résultats très problématiques.»
Ils terminent l'article par un des voyages de Gulliver que j’avais oublié: le pays de Balnibarbes dirigé par une académie pléthorique...
C’est assez étonnant, non? de lire que des patients covid «gardent des séquelles pulmonaires, sans le savoir» (par exemple dans https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/j-ai-ete-plus-touche-que-je-ne-le-pensais-de-nombreux-patients-gueris-du-coronavirus-gardent-des-sequelles-pulmonaires-sans-le-savoir_4053137.html)
Primo, c’est une antienne chez moi: ces articles citent «des patients covid» sans préciser s’ils ont subi une hospitalisation? en soins intensifs? un simple covid chez soi, très désagréable certes? ou s’ils ont été testés covid sans manifester de symptômes.
On zone donc dans le flou le plus total.
Secundo, on nous montre des radios de poumons avec lésions. Et là je peux pouffer oui? Vu que les patients disent ne rien sentir comme malaise, qui dit que leurs poumons n’étaient pas dans cet état avant la maladie? Dans quel monde une affirmation scientifique repose-t-elle sur des non-comparaisons?
Tertio, c’est singulièrement superman de croire qu’on se remet d’une virose aussi bizarre et nouvelle sans rien faire, en tout cas passé un certain âge ou dans des cas de morbidité chronique. Surtout quand cette maladie a été vécue dans une atmosphère anxiogène, comme si on vivait un film d’horreur - le facteur idéal pour perturber l’équilibre psycho-neuro-immunologique (eh, oui, il y a des spécialistes de cette science).
A minima, on se fait un programme de rééducation cellulaire en nutri, avant de gérer le stress et la symbolique d’avoir perdu son Père:
* surprotéiner le quotidien
* éviter les résidus toxiques, depuis les polluants jusqu’aux additifs
* cuisiner des aliments frais
* se supplémenter en vitamines et minéraux.
Dans mon cas, je sais que mon élément-clé est le zinc. Après la maladie fin février, je n’ai pas mis l’épuisement et l’essoufflement sur le covid, mais bien sur la rage d’être enfermée à demeure, sur le choc psychologique de voir mes congénères psychosés sans raison par des élus inconscients.
Déconfinée, les symptômes perduraient. Je me sentais comme lors de mes années d’épuisement chronique (encéphalopathie myalgique). Ce n’était donc pas la rage. Sotte que j’étais, j’avais oublié de me requinquer, tout simplement.
J’ai suivi mes principes ci-dessus et fait une cure : double dose de zinc et hautes doses de vitamine C (2 gr par jour, par acquit de conscience). Je ne conseille ces compléments à personne. Je ne suis pas thérapeute. Il se fait que, ici et maintenant, chez moi, ce sont les deux éléments qui m’ont redonné mon peps habituel, je peux de nouveau faire des balades, je ne m’endors plus à tout bout de champ.
Je n'ai pas pris de vitamine D, car je connais le dossier (que de toute évidence tant de médecins ne connaissent pas, eux qui prescrivent des doses ahurissantes de vitamine "contre le covid").
*NB important. J’ai pu arrêter cette supplémentation vit C après 3 semaines, dès qu’elle a fait son effet. Je continue le zinc, que je prends en permanence (c'est bien mon seul "médicament" chronique).
Et quarto, pas un mot chez ces médecins ni dans les articles sur le fait que le patient est retourné dans son environnement toxique habituel: depuis les toxiques ménagers ordinaires jusqu’aux nanoparticules infectes dans l’air qu’on respire en passant par la pollution électromagnétique de celui qui dort le wifi allumé par exemple. Ces diverses pollutions ne deviennent de véritables poisons que lorsqu’on a vécu une rupture de tolérance. Il se pourrait que ce virus-ci la provoque.
Le poster est la conclusion de l’excellent article sur un site de «prudents de la technologie délirante», que je ne connaissais pas.
Je reformule le titre de l’article, pour éviter les censeurs modernes: «Un v. d’o... g...e scientifreak ? «
En texte: «Scientifreak, scientifric, scientiflic. Ce que l’ép..d.. e met en évidence, après bien d’autres crises ou événements, c’est le déchaînement de la puissance technocratique. Les scientifiques, la plus haute couche de la classe technocratique, disposent de tous les moyens que nous leur consentons pour assouvir leur volonté de puissance. Ceux qui acceptent de se soumettre à la rationalité techno-scientifique jusque dans son irrationalité, découvrent un jour que leur soumission à cette volonté de puissance met en danger la survie de l’humanité.
L’article décrit les recherches et échanges avec des chercheurs anonymes, spécialistes du domaine. J’extrais un échange par mail, c’est l’un des chercheurs qui répond:
«« Il y a deux mois, on nous demande : est-ce que le ...... a été créé en l...b ...e ? et la main sur le coeur, on dit : noooooooon, c’est très peu probable. C’est tout simplement que:
1) ça nous a paru tellement énorme qu’on ne pouvait pas le croire,
2) nous n’avons ni le temps ni l’expertise immédiate pour remonter le fil de toutes les manips, faire toutes les analyses, etc.
C’est extrêmement chronophage au moment où on a 10 fois plus de travail urgent que d’habitude. L’immense majorité des chercheurs n’a ni le temps ni les compétences pour regarder cela en détail.
Mais quand on prend le temps d’analyser comparativement les séquences de (....) et de (...) , le doute assaille fortement. Il y a de plus en plus de journaux qui reprennent l’affaire. Il sort de plus en plus de pre-prints de chercheurs compétents qui flairent l’arnaque.
Pour le moment, ils n’arrivent pas à publier dans des revues avec comité de lecture (qui ne veulent pas de cette bombe).
Mais cela ne va certainement pas tarder. Ça commence à craquer de partout. »
Le problème, ajoutent nos interlocuteurs, « c’est qu’il y a en même temps plein de conspirationnistes, de théories stupides ou branquignolesques qui viennent altérer la réalité. »
Lire le tout en pdf via https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1304
Le bon sens paysan, manifesté par l’ami Bruno Combaz, qui parle aussi bien qu’il écrit. «Non, sérieusement vous préférez être soigné par un médecin ou par un scientifique?». Il utilise un subterfuge et invite des amis imaginaires à donner leurs avis. J’adore l’approche simple, cultivée, anarchiste. Le thème aujourd’hui: les chefs de service qui pérorent sur les plateaux de télé et ne voient probablement plus de patients, les vrais médecins, les rebouteux...
Pour comprendre la grande imposture des tests, découvrir qu’on peut jouer aussi sur le nombre de cycles (CT) lors de l’analyse du test - ce qui génère des positifs chez... n’importe qui, dirons-nous. Relais du docteur Huet ci-dessous qui pointe vers 9 - Les tests RT-PCR du Covid-19 se révèlent être de très mauvais tests de contagiosité
Jean-François Huet, fb. Nous sommes bien dans une «ÉPIDÉMIE DE TESTS» et non de maladie ( voir mes posts sur les conséquence du choix entre sensibilité et spécificité.....)
«Dans un article publié sur le site du New York Times samedi 29 août, des experts américains s’étonnent que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de test de contagiosité dans le cas d’une infection par le Sars-CoV-2.
Le seuil considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des patients qui ne représentent aucun risque de transmettre le virus.
Si on voulait «gonfler» la prévalence on ne s’y prendrait pas autrement.
Et ce n’est pas du complotisme c’est de la science
Avec un CT à 50, 90% des «concombres masqués» finiront par être des «cas» positifs même avec leur torchon sur la figure H24
Un décodage du délire de nos experts, par un ingénieur, Joseph Junker. Une tribune libre dans La Libre où nos pseudo-experts prennent une leçon: ce sont des gamins! Je retiens la conclusion, après sa démonstration chiffrée:
«En écrivant ce coup de gueule, je n’engage que moi et ne risque la vie ou la santé de personne. Les pressions exercées par «Marc, Steven, Manu, Erika et consorts» quant à elles, ont abouti à des mesures d’une gravité extrême, un impact humain inouï, des maladies psychiatriques et probablement des suicides, des chutes dans la pauvreté, pour ne pas parler des milliards de conséquences matérielles qui ne sont encore (à mes yeux) qu’un moindre mal. Avant de prendre ou de faire prendre une responsabilité d’une telle ampleur et quand on dispose de moyens scientifiques aussi conséquents que ceux dont dispose Sciensano, est-ce trop demander que de se baser sur des éléments solides et démontrables ? Est-ce trop demander que de se remettre en question si nécessaire ? Est-ce trop demander des excuses si l’on s’est trompé ? Est-ce trop demander qu’un peu de sérieux et d’honnêteté intellectuelle ? Est-ce trop demander d’éviter de miner la confiance de la population en la science en présentant ad urbi et orbi des éléments qui tiennent au mieux du mauvais devoir d’étudiant en Math’ App’ de première bac, au pire de prostitution avérée de la science pour justifier par après la justesse des décisions prises ?
Apparemment oui.»
Suite du chapitre «y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise?» (selon le titre du livre du professeur Perronne) : écouter l’interview du professeur Toussaint, toujours aussi magistral, qui commente les décisions récentes de confinement de nuit. Et argumente point à point, sagement, calmement. En gros il sous-entend que les élus se cachent derrière leur petit doigt, pour ne pas avoir procédé aux mesures de régulation des hopitaux qui s’imposaient depuis six mois.
Titre: «CoVid 19/Pr.Toussaint fait un point objectif sur l’épidémie & les mesures extravagantes en France !» 12 minutes https://www.youtube.com/watch?v=oS8_ceewW2k
Prenez une bonne inspiration, car la dame qui l’interviewe a un QH très élevé (ma terminologie: QH = «quotien hystérie»). Je ne taris pas d’admiration pour le calme olympien de ce grand bonhomme, surtout face à une coiffeuse déguisée en intervieweuse.
Je n’ose pas dire son nom tant ses questions sont primaires, binaires, typiques d’un valet du pouvoir (surtout ne pas les mettre en cause!), sans fondement, basées sur la croyance dans tous les on-dit du jour. Oh, mes soeurs, que vous me faites honte, parfois. J’entends résonner «Kirche, Küche und Kinder*» dans le fond de mon cerveau. Infinie tristesse. Tristesse vite éteinte quand je vois la fine diplomatie de la part de Toussaint, qui arrive à faire comprendre entre les lignes sa critique très radicale de la gestion de crise.
Merci à cnews d’inviter des voix alternatives comme le professeur Toussaint.
NB* Millenials: du temps du 3ème Reich, les femmes étaient bonnes pour «Kirche, Küche und Kinder» soit l’église, la cuisine et les enfants. Et s’enchantaient de cet enfermement. Je sais toutes les résistantes d’alors, mais le fond féminin non pensant a fait le lit du nazisme: de bonnes petites servantes de l’autorité et «des hommes forts». Traitez-moi de beauf’ si ça vous chante, mais on ne peut nier qu’il y a quelque chose d’une servitude volontaire de la part «anima», qui agrée toutes les formes de totalitarisme. Ceci dit du fond de mon coeur de féministe de longue date, mais lucide.
Pour mon copain qui s’interroge sur le traitement qu’il prendrait si le covid le titillait et qui n’aime pas trop mes suggestions trop naturo à son goût (huiles essentielles ou artemisia, jeûne aux jus de légumes frais ou au bouillon d'os, repos, vitamine C et zinc), lire chez le docteur Gérard Maudrux, chirurgien urologue: «Le traitement Covid existe : Ivermectine, efficace à 100% ?» (10/12/2020) -> https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100
D’autres billets sur le sujet sur son blog.