taty lauwers

cuisinez selon votre nature

en quête d'un devenir-soi nutritionnel

Les mutations génétiques individuelles: MTHFR

5.8.25 Les récentes avancées de la génétique ont permis qu'on puisse décoder certaines carences individuelles en facteurs essentiels à une bonne santé, par exemple l'état des gènes COMT ou MTHFR - les deux que je connais pour être sujette à une mutation ("polymorphisme génétique" de naissance). Je voudrais ici démontrer qu'une bonne partie des mangeurs ne peut PAS se passer de sources alimentaires animales, s'ils sont victimes de ces mutations.

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un prochain livre, ;

à paraître chez Aladdin, par Bibi

La mutation du gène MTHFR, ou méthylènetétrahydrofolate réductase, est une variation génétique qui affecte la capacité du corps à métaboliser le folate (vitamine B9), qui est une clé essentielle dans des processus cruciaux comme la méthylation. Selon les sources américaines, plus de 40 % de la population est victime de cette mutation génétique de naissance. Elle peut entraîner une diminution de l'activité de l'enzyme MTHFR, ce qui peut conduire à une mauvaise méthylation (forme de détoxification) et, entre autres, une augmentation du taux d'homocystéine dans le sang.

NB. Nouveau en nutri-santé? Découvrez "La méthylation : c’est quoi et à quoi ça sert ?" chez Nutriting, en français. Leur conclusion: "La méthylation est donc un processus en apparence compliqué, mais en réalité relativement simple, et surtout essentiel, puisqu’il constitue la clé de voûte d’une multitude d’actions vitales au sein de notre organisme. Or, il peut être grandement impacté d’une part par notre alimentation, et d’autre part par notre héritage génétique.

Dès lors, il est primordial en premier lieu de s’assurer d’avoir des apports suffisants en certains nutriments essentiels au bon fonctionnement de ce processus, en particulier les folates, la vitamine B12 et la vitamine B6, la choline, la glycine ou encore le magnésium.

Dans le cas d’une mutation génétique pouvant impacter le processus – ce que l’on peut déceler en faisant un examen de biologie médical (prise de sang), ou via une analyse du séquençage de notre ADN (avec un extrait de salive) – il sera important, en plus de s’assurer d’apports encore plus conséquents en ces nutriments, d’avoir une hygiène de vie la plus saine possible (sommeil, activité sportive, stress, pollution, etc.), le fonctionnement de ces enzymes y étant étroitement lié."

Je fais appel à l'ami Chris Masterjohn (CMJ), mon chouchou car docteur en nutrition, humain et partageur, qui a été l'un des premiers à se spécialiser dans l'analyse génétique des carences de naissance et dans l'épigénétique (l'évolution des marqueurs génétiques selon l'environnement, en gros).

J'ai longtemps hésité à relayer cette piste, car il me semble que seuls les Américains sont très clairement victimes de ces mutations génétiques, en grand nombre. En Europe, si certains mangeurs le sont, ils étaient assez rares quand j'auditais, avant la retraite. Je les avais classés dans les "mangeurs au métabolisme atypique", dont les "canaris de la modernité" sont une variante. Je propose une illustration concrète de la vie et de l'errance diététique/médicale d'une de ces victimes de défaut de méthylation ici: Périple d'un mangeur au métabolisme atypique (MMA).

Je n'ai quasi jamais rencontré de MMA, que je soupçonne être victime de polymorphisme génétique, chez des adultes qui furent des enfants heureux, aimés, respectés, dorlotés. Ceux que j'ai rencontrés (ce qui n'implique pas qu'ils soient la totalité de la cohorte) étaient tous des enfants blessés. Il se peut que ces mutations ne s'expriment à haut bruit que lorsque des atteintes psychologique et morales se sont ajoutées à ces défauts de naissance et que, chez les plus bienheureux, ces mutations ne s'expriment que faiblement.

Aux States, en revanche, le phénomène est si courant que j'émets une autre hypothèse (on a bien retenu que ce sont des suppositions?): je met en cause la surcomplémentation des aliments manufacturés, surutilisés sur ce continent, ainsi que l'habitude chez beaucoup de se complémenter en divers produits, au quotidien et en permanence (des vitamines à la pelle, des minéraux à foison, et j'en passe) - ce qui est doublé par le niveau surélevé de pollution depuis plus longtemps que chez nous (signalé dans un autre article, qui envisage aussi les innombrables doses de vaccin infantiles comme source de pollution). Ces multiples facteurs peuvent très bien avoir surmonté l'effet psycho-émotionnel que je viens de citer et fait que même les enfants chouchoutés deviennent des adultes dont les carences de naissance ne peuvent plus être négligées, tant elles se manifestent clairement.

Pour combler la carence MTHFR, la plupart des thérapeutes américains prescrivent des doses, parfois hautes, de méthylfolate pour soutenir les voies de méthylation . On le comprend si l'on sait qu'aux States les aliments manufacturés, qui sont surutilisés, sont obligatoirement complémentés en acide folique de synthèse - qui, on s'en doute, n'a rien à avoir avec les folates naturels. Le corps ne s'y retrouve pas et est progressivement "engorgé" par ces excès d'acide folique de synthèse. Qui sait, d'ailleurs, si ces apports quotidiens ne perturbent pas l'épigénétique et ne provoquent pas de plus grands désordres mthfr encore?

CMJ privilégie la nutrition vraie et recourt parfois aux compléments. D'expérience, il considère la consommation de suppléments de à haute dose comme potentiellement problématique et la déconseille. Le cœur de son protocole consiste à augmenter l’apport de nutriments spécifiques pour compenser la capacité de méthylation réduite causée par la mutation. Il pratique aux Etats-Unis, où je vois même les professionnels, parfois médecins, consommer des produits "sains" en version manufacturée. Combien de coachs ne montrent-ils pas en vidéo leur assiette au quotidien, qui est surtout composée de boissons augmentées, de poudres de perlimpinpin à diluer dans un jus (en bouteille, mais bio... aheum), de smoothies du commerce (mais bio, tu sais!), etc. Ils nous les présentent comme "nourriture". J'en ai les bras ballants à chaque vision. "Je comprends pourquoi tu dois faire la diète cétogène en permanence, si tu te "nourris" de rien, nappé d'aérien sur fond de nuage.."

Je commente donc les conseils de CMJ en citant en italiques les sources alimentaires les plus riches en ces nutriments particuliers. Car ici, on utilise les nourritures vraies comme thérapeutique et pas comme prétexte, n'est-ce pas?

Les éléments clés de sa solution comprennent ce qui suit.

A/ Stimuler la riboflavine (B2)

Il recommande d’augmenter l’apport en riboflavine, en particulier pour les personnes ayant une faible activité MTHFR, car il s’agit d’un cofacteur crucial pour l’enzyme MTHFR.

-> Où trouver de la B2?

Produits laitiers, œufs, légumes verts à feuilles, viandes maigres, abats comme le foie et les rognons, légumineuses, noix,(USA: céréales et pains enrichis). Parmi les sources les plus importantes, on trouve le foie de bœuf, dont une portion de 85 g poêlée fournit 2,9 mg de riboflavine. Parmi les autres excellentes sources, on trouve le lait (1 tasse apporte 0,42 à 0,5 mg), le yaourt (1 tasse apporte 0,6 mg), les œufs (1 gros œuf dur apporte 0,26 mg), les amandes (28 g apporte 0,33 mg) et divers poissons comme le saumon et le flétan. Les légumes verts à feuilles foncées comme les épinards et le brocoli, ainsi que les champignons et les céréales complètes, contribuent également de manière significative à l'apport en riboflavine.

B/ Apport en choline

Selon CMJ, les mutations du MTHFR augmentent les besoins du corps en choline, qui sert de source alternative de groupes méthyles, contribuant ainsi à réduire la dépendance au méthylfolate. Il suggère d’utiliser un calculateur de choline pour déterminer les besoins individuels, mais ça, c'est pour les Ricains, n'est-ce pas? Nous ne sommes pas encore, en tant que pays entier, dans une telle voie orthorexique.

-> Où trouver de la choline ?

Les sources alimentaires les plus riches en choline sont les produits animaux comme les œufs, le foie de bœuf, le poisson et les produits laitiers, mais on en trouve aussi un peu dans la farine complète (dans le germe et le son). Les œufs sont particulièrement riches en choline, un gros œuf en fournissant environ 151 mg. Le bœuf, le poulet, le saumon et le lait sont d'autres sources animales importantes. Parmi les options végétales, on trouve le tofu et le tempeh, les pommes de terre (45 mg par pomme de terre) et divers haricots comme les haricots rouges et les haricots blancs . Les légumes crucifères comme les choux de Bruxelles et le brocoli, ainsi que le germe de blé, les arachides et les produits à base de soja, contribuent également à l'apport en choline.

C/ Créatine

CMJ recommande de supplémenter en créatine pour aider à conserver le méthylfolate, car on réduit ainsi le besoin global de l'organisme d'utiliser des groupes méthyles pour la synthèse de la créatine.

-> Où trouver de la créatine ?

Les produits d'origine animale comme la viande rouge, le poisson, la volaille et les produits laitiers sont les principales sources alimentaires naturelles de créatine, les aliments d'origine végétale n'en contenant que des quantités négligeables. Les concentrations les plus élevées se trouvent dans les fruits de mer comme le hareng, le saumon et le thon, ainsi que dans le bœuf, le porc et le poulet.

D/ Glycine

La glycine est essentielle car elle agit comme tampon pour les groupes méthyles et se perd lorsque les niveaux de méthylfolate sont faibles. CMJ recommande de compléter avec de la glycine pour compenser cette perte, notant que trop peu de protéines peuvent entraver la méthylation, tandis que trop de protéines peut aggraver la perte de glycine, nécessitant une « quantité Boucle d'or » équilibrée.

(NB TL "Boucle d'or et les 3 ours": métaphore souvent utilisée en anglophonie pour "la juste dose". C'est un conte où la petite fille goûte tour à tour les trois bols de soupe des trois compères, testant d'abord celui du grand ours, trop chaud, puis celui du moyen ours, trop froid, avant de choisir celui du petit ours, juste à point)

-> Où trouver de la glycine ?

Mais dans ton bouillon d'os quotidien, ma chérie! Lire Gélatine, stress et longévité

La glycine est en effet présente dans divers aliments riches en collagène et en tissu conjonctif, ce que l'on trouvera dans les daubes à l'ancienne, les bouillons d'os maison, etc. A défaut, dans la consommation d'aliments additionnés de gélatine, comme les bavarois maison ;) Les aliments d'origine animale sont particulièrement riches en glycine, notamment la gélatine (10,9 g pour 100 g), la peau de poulet (3,3 g pour 100 g), la couenne de porc (3,2 g pour 100 g) et le poisson (2,5 g pour 100 g).

E/ Méthylfolates: prudence!

Bien que le méthylfolate soit nécessaire, Masterjohn déconseille une supplémentation à haute dose. Si l'on veut supplémenter, il suggère de commencer par de très faibles doses (par exemple, une fraction d'une goutte de méthylfolate liquide diluée dans de l'huile ou 1/8 ème d'un comprimé sublingual de 1000 mcg) et d'augmenter progressivement pour éviter de submerger le système. L’objectif est d’utiliser le méthylfolate pour « arrêter » le système tampon de la glycine lorsque les groupes méthyles sont suffisants.

En gros

Retenons le but de la manoeuvre: chez des personnes victimes de cette mutation génétique, lorsqu'elle s'exprime franchement (pensons épigénétique!), on visera à optimiser la méthylation grâce à une sage stratégie alimentaire, ciblée sur la singularité du mangeur. A la rigueur, un professionnel ajoutera des compléments. Ces fonctions de méthylation sont si subtiles qu'il faut être très délicat dans la mise en œuvre des compléments, qui peuvent provoquer les effets indésirables des changements soudains de l’état de méthylation. En se fondant sur l'alimentaire pur, on obtient rarement de tels effets secondaires.

Malgré tout, chez les plus fragiles, il faudra agir en "entrée en cure", c'est à dire progressivement. Chez les mieux-portants, on pourra tester du jour au lendemain une cure stricte et excessive, comme la diète cétogène, Nouvelle Flore ou même Mes nerfs en paix (pour les "canaris"), qui rééquilibrera les voies de méthylation.

Le pitch

Ce billet n'est qu'une illustration de mon refrain depuis mes débuts en nutri:

  1. Le meilleur coach du monde, fût-il médecin, ne peut ressentir ce que vit un organisme particulier, s'il est victime de mutations génétiques. Seul le mangeur est à même de peaufiner les menus et les associations, selon ce qu'il ressent de bénéfique ou pas dans ses nouveaux choix alimentaires.
  2. La complémentation demande un doigté remarquable et un tact thérapeutique que j'ai peu rencontré dans ma courte carrière d'auditeur nutritionnel (15 ans).

    Pour complémenter avec efficacité, il faudrait connaître tous les pans de la génétique de la personne, ce qui est à ce jour impossible.

    A vouloir rajouter des donner des méthyl à un surméthylant, on peut provoquer bien des ondes de choc, par exemple... Le dr Pfeiffer l'a largement démontré déjà dans les années '80, alors qu'on ne disposait pas encore des tests en génomique.

    Je ne connais pas les recherches en génétique de la vitamine D, mais on découvrira peut-être bientôt qu'à forcer la complémentation, parfois à haute dose, on dérègle des capteurs essentiels.

    Continuez avec tous les paramètres de la singularité et vous serez peut-être plus prudents en complémentation.

  3. En revanche, la mise en oeuvre d'une autre hygiène de vie, dont une autre façon de manger et de cuisiner, produit rarement des chamboulements profonds indésirables.

    Les seules erreurs potentielles: les diètes excessives. Par exemple, vouloir manger végane sans savoir qu'on ne peut transformer le bétacarotène des végétaux en vitamine A (ce qui est le cas de 40% de la population, de mémoire) peut vite carencer un mangeur.

  4. Hélas! La plupart des mangeurs ne sont pas prêts à une transition radicale. Ils préfèrent souvent rajouter des compléments - à leurs dépens, s'ils font partie de la cohorte des victimes de mutations génétiques.

En particulier, il est l'illustration que:

  1. les seuls véganes qui s'en sortent (temporairement) sont ceux qui hypercomplémentent leur quotidien. Seuls les tout bien-portants s'en sortent, bien sûr. Tant pis pour les maillons faibles, grrr!
  2. s'il en ressent le besoin fondamental, aucun mangeur ne devrait se priver de sources animales, dans une diète généralement équilibré en autres sources, sur la foi de rumeurs urbaines sur la toxicité des oeufs, des fromages, de la viande etc,

    Le projet mondial globaliste d'une EAT Planetary Health Diet, survendu auprès de nos gouvernants, qui essayent de faire passer ce mode quasivégane dans nos cantines, est une atteinte fondamentale à la santé des peuples - due à leur ignorance crasse des bases en nutrition.

Retour de Ghislaine Gerber, prof' de micronutrition

Sur ma publication fb, j'ai demandé son avis à Ghislaine Gerber, prof' de micronutrition qui nous fait l'honneur de nous informer.

Elle confirme qu'à surcomplémenter sans personnaliser finement, on peut dérègler l'épigénétique. Les sujets que les référents reçoivent en audit nutritionnel, qui seraient des "canaris de passage" selon notre terme commun, sont parfois des personnes qui ont bien morflé au niveau cellulaire, à force de vouloir trop bien faire.: soit en autoprescription, soit sur prescription d'un de ces médecins qui se croient nutrithérapeutes alors qu'ils n'ont qu'une connaissance superficielle.

Et dire qu'avec une diète ciblée selon la personnalité biochimique et l'état actuel, ET menée en nourritures vraies, on obtient les mêmes résultats qu'avec les complémentations, souvent! Et sans effet secondaire....

Ma question: "Je me permets de demander ici à Ghislaine Gerber si elle aussi a observé des modifications de l'expression génétique chez les personnes qui surcomplémentent, à tort et à travers (ce qui se manifeste par une expression forte de ces carences type MTHFR); et si on dispose d'études le confirmant? Merci si tu as le temps..."

Sa réponse:

Bravo pour ce sujet qui est l’un de mes dadas pour ceux qui me suivent et qui suivent nos cours depuis plusieurs années .

Oui la plupart des études n’ont de cesse de confirmer que ces supplémentations en acide folique et autres vitamines B de SYNTHÈSE et isolées sont mal métabolisées au point que les enzymes requises pour leur transformations deviennent ensuite inopérantes !

A donner des fake nutriments de synthèse, voire même des vitamines artificiellement méthylees, on ne remplace JAMAIS les proportions et les formes naturelles des vraies vitamines naturelles avec tous leurs cofacteurs apportées par le VIVANT …

C’est de l’épi génétique plus que de la génétique . C’est à dire que ces comportements, choix et recommandations d'une artificialisation mal pensée de la nutrition entraînent des impacts négatifs sur l’expression normale de nos gènes .

À force de les endommager en faisant n’importe quoi avec de la chimie de synthèse (à coups d’acides foliques qui ne sont pas identiques à TOUS les FOLATES naturels dont a besoin le corps pour remplir ses fonctions), on observe de plus en plus de variations dans l’expression de ces gènes MTHFR COMT 677 et 1298 ...

mais pas que ! En découle une désorganisation de l’équilibre de nos acides aminés dans leur cycle respectif méthionine , cystéine via la conversion de L’homocysteine . Or, cette homocysteine, dont évidemment on s’est empressé d’indiquer qu’elle n’était que peu prédictive à tort , est un marqueur-clé que les médecins devraient surveiller comme du lait sur le feu, bien plus que le seul cholestérol qui est devenu une obsession.

On retrouve l'association de mutations MTHFR et de l’hyperhomocysteinemie associée dans des pathologies neuro-dégénératives dont TDAH , troubles du spectre autistique , Alzheimer et démence précoce , troubles de la réponse immunitaire et inflammations anarchiques , les troubles hormonaux et son cortège d’endométriose , adenomyose , SOPK (syndrome d'ovaires polykystiques) et mauvaise conversion des œstrogènes (active dans différents cancers ), fausses couches , perte de fécondité , troubles cardio-vasculaires , dysfonctions multiples.

Un exemple. Un de mes élèves médecins suivait une patiente en errance médicale. Elle n’avait plus que le fentanyl pour calmer des douleurs atroces d’une endométriose galopante, contaminant tout l'organisme. Aucun praticien n’avait pensé à aller tester son hyperhomocysteinemie éventuelle, ni sa mutation homozygote MTHFR ..

Suite à la formation de ce médecin en nutrigénomique ( au Cerden ) et à nos cours , il l'a envoyée au CHU service spécialisé de génétique après avoir trouvé une homocysteine à plus de 60 µmol !! Taux qui était passé sous les radars pendant plus de 15 ans

J’ai des centaines de pages de cours sur le sujet, qui est l’un des thèmes qui passionnent le plus le corps médical et qui l’aident à sortir des patients de certaines errances …

Il y a tant à dire … Oui, souvent, il y a besoin de supplémenter en nutriments en complément d’une réforme alimentaire personnalisée, mais à la seule condition que cette supplémentation se fasse avec des vitamines et nutriments naturels - qui ont tous les cofacteurs requis pour leur métabolisation optimale dans le corps.

Toute la différence est là. Nos gènes savent reconnaître les vrais des fakes, qu’ils rejettent ou qui les détruisent, surtout quand il y a avalanche de dosages en excès. L’excès de vitamines de synthèse est une véritable catastrophe pour nos enzymes humains et pour l’epigénome. Heureusement, c’est réversible quand on le comprend ENFIN !

J’ai plusieurs études captures d’écran de mes cours à ce sujet, que j’essayerai de mettre sur ton blog dès que je prends quelques jours de repos.


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