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Climat: le film (la vérité à froid)

30.3.2024 Je fais partie des écolos qui ne valident pas le catastrophisme climatique ni la croyance que l'homme est la source de tout (bienfait ou malheur). Je me revendique Gieco-sceptique plutôt que climato-sceptique. Un film récent, informé et distrayant, expose comment une personne qui pense peut trouver un chemin hors des sentiers battus de la propagande climat. Car il s'agit bel et bien de propagande et non de communication. Je souligne ici les forces et les défauts du film dont le titre original est "Climate: the movie (the cold truth)" - la traduction en titre de billet est de moi, le temps qu'on m'en propose une officielle.

Billet inclus dans le dossier "Le circus virule (ou ce que le covid-19 est venu nous dire"), amorcé début 2020. Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket, comme pour le dossier à charge contre les Gafam. Je transfère certains des billets écrits en brouillon sur fb pendant le confinement. On les retrouve via le sommaire.


Voir le résumé

Je fais partie des écolos qui ne valident pas le catastrophisme climatique ni la croyance que l'homme est la source de tout (bienfait ou malheur). Je me revendique Gieco-sceptique plutôt que climato-sceptique. Un film récent, informé et distrayant, expose comment une personne qui pense peut trouver un chemin hors des sentiers battus de la propagande climat. Car il s'agit bel et bien de propagande et non de communication.

Dès qu'on mentionne "CO2", je coupe court à la conversation, je sais que la personne est endoctrinée et peu informée, qu'elle fait partie du Mediavers et n'a jamais étudié le dossier.

Pareil quand j'entends utiliser le mot "genre" là où en français on peut très bien mentionner "sexe" ou "stéréotype sexuel". Je sais alors que je peux arrêter la conversation, vaine, car l'intervenant est un gentil neuneu qui répète un discours non pensé, qu'il n'a jamais lu de Beauvoir & Cie, qu'il fait partie de cette gauche qui obéit à des diktats et ne se rend pas compte qu'elle tient des discours rétrogrades, homophobes et misogynes. Les curieux liront mon dossier "Les transgenres sont des machos comme les autres" (Chronique du Bas-Empire transactiviste). Encore non terminé tant j'étais écoeurée du résultat de mes recherches*.

Sur le même thème, le recours aux modèles mathématiques pour valider la folie covid ou la folie climat me fait aussi interrompre la conversation . L'ami qui me chante leurs vertus sait-il que, systématiquement, ces modélisations s'avèrent fausses? Il n'y aura pas de Newton du brin d'herbe, écrivait Kant. Je vois bien les raisons psychologiques qui poussent un désespéré de la modernité et du progrès à croire à ces équations déconnectées du réel.

Peu m'importerait si ce discours catastrophiste ne provoquait tant de déprimes chez les jeunes, enfants compris; si le suivisme du bon peuple ne nous entraînait pas hors des chemins de bon sens: s'attacher à la biodiversité, à la variété des sources, respecter les sols et les exploitants, y compris dans les pays lointains, prendre conscience des gestes polluants (pensons glyphosate), humaniser les villes, etc. Bref, tout le contenu des revendications vertes depuis longtemps, avant que l'Industrie 4.0 ne phagocyte le sujet et ne focalise sur "CO2".

Aujourd'hui, quiconque valide le Green New Deal européen ou les vaines COPs, en gros la financiarisation de la nature, nous entraîne vers l'abîme, qu'il se revendique écolo ou pas. Tout ça pourquoi? Par pure paresse intellectuelle, par grégarisme, par peur de détoner.

Bou djiou que ça peut m'énerver, parfois.

Mais heureusement, par moments, on voit des étincelles qui pourraient éclairer l'entendement de chacun . En l'occurrence, vient de sortir le film "Climate: the movie (the cold truth)". Que je relaye car je viens de découvrir la version sous-titrée en français par des professionnels:

 

Sous-titres - procédure: https://taty.be/articles/YTsoustitresFR.html

Début de la longue description sur YT:

Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.

Lire la suite sur https://www.youtube.com/watch?v=zmfRG8-RHEI

Mes contradicteurs en famille ne le regarderont probablement pas, et pourtant, ils comprendraient pourquoi je les tanne lors de discussions: "je ne nie pas les changements de climat, je me questionne sur l'impact des activités humaines sur ledit climat comme seules variables. Le soleil est probablement plus puissant que votre nombril ; l'homme n'est qu'une poussière dans ces évolutions. Arrêtez de vous flageller sans raison". Mon deuxième argument est qu'une grande partie des scientifiques actuels (et de leurs adorateurs) vivent dans le monde des licornes: ils croient à des modélisations et tordent le nez au réel pour qu'il colle à leurs modèles. On voit là qu'en gros, toutes les discussions autour du sujet tournent autour d'une attaque narcissique: "kwwwwâ? je ne suis pas le centre du monde et le vivant est incertain? ". Il est normal que le ton devienne irrationnel au possible, on touche à l'émotion pure.

Le titre du film "The cold truth" est probablement un clin d'oeil au documentaire autour de la campagne internationale d'Al Gore après son échec aux élections: : "Une vérité qui dérange" (an inconvenient truth). C'est d'ailleurs tout le tintouin autour de ce politicien américain, richissime homme d'affaires d'ailleurs, qui m'avait ouvert les quinquets à l'époque. Ex-lobbyiste, je cherchais à qui profitait le crime. Je ne pouvais croire qu'il agissait par pur humanisme. Ce questionnement s'ajoutait au fait que, depuis les années '70, le discours climat et ses promesses de malheur ("en 2000 tout est fini!") semblait de plus en plus vain à qui avait de la mémoire. Les soixantenaires se rappelleront qu'à l'époque, d'ailleurs, on nous promettait avec grande force... un âge glaciaire. La liste des incohérences est longue.

 

Ne traînez pas, visionnez-le avant que les militants bornés ne le fassent interdire. Certains ont annoncé sur les RS leur volonté de porter plainte en groupe chez YT: s'ils sont mille à déposer la même plainte, le film sera interdit. Il ne faudrait tout de même pas supporter la contradiction, n'est-ce pas? Il y a d'autres plateformes, certes, mais rarement avec la possibilité de sous-titres, so utiles pour les monolingues.

Ce film est un délice pour quiconque sait que "consensus" ne veut rien dire dans les cercles scientifiques, où le débat est permanent, où la vérité du jour devient obsolète le lendemain. L'argument "97% des scientifiques sont d'accord avec le Green New Deal" est une imposture, largement reproduite dans les media de grand chemin.

Ah oui, j'oubliais: "consensus scientifique" est un autre des mots magiques qui m'évitent de perdre mon temps en discussions vaines. Lorqu'il surgit, je distrais alors mon interlocuteur avec un "oh, que les roses ont été ravissantes, cette année", "diable, que cette salade est divine, qu'as-tu mis dedans?".

Le documentaire a un gros défaut, mais vous ne vous lasserez pas pendant plus d'une heure d'exposés structurés en chapitres, alternant des animations chiffrées avec des interviews de chercheurs. Et pas des moindres! Parmi tous ces chercheurs de haut vol, je ne connaissais que Steve Koonin, anciennement conseiller scientifique d'Obama, professeur à NYU.

A défaut d'être convaincu du jour au lendemain (un des défauts du film: il prêche!), au moins vous aurez un os à penser sur le sujet du discours climatiste anthropocentré et basé sur des modèles. Vous pourrez vous faire votre propre opinion, raisonnée. Vous arrêterez peut-être de nourrir la dystopie qui s'annonce, sur fond de terreur climatique, et dont les intentions ne sont PAS de sauver la planète.

Un autre gros défaut du film est celui qu'une écolo de coeur trouve chez quasi tous les climato-sceptiques ou -réalistes: pas un mot (ai-je été distraite?) sur de véritables enjeux dans ce monde globalisé, où les mauvais choix politiques sont magnifiés par le fait même qu'ils sont mondialisés. Quid de la pollution et l'appauvrissement des sols, des ravages de l'industrie excavatrice et intensive, quid de l'impact des autoroutes maritimes (aliment produit en France, travaillé en Chine, emballé au Sénégal, vendu en France?), de l'érosion, de l'escalade chimique sans contrôle (intrants, additifs, etc. que nos autorités n'arrivent même plus à tester), etc. etc.

A force de vouloir contrer la PanzerDivision des climatocatastrophistes, nos amis oublient de souligner que la productivité à outrance, le progrès comme Saint Graal, l'industrialisation et la financiarisation de nos vies ne peuvent que mener à une impasse. La plupart d'entre eux, par exemple, valident les OGMs, la folie 5G, les intrants synthétiques et autres délires des multinationales.

Mais que pouvait faire de plus sur 80 minutes le réalisateur de ce documentaire, Martin Durkin?

Je fais partie des antiproductivistes de la mouvance écolo, et non,, trois fois non, cette posture n'équivaut pas à s'éclairer à la bougie. Mantra caricatural de qui ne connaît pas (ne veut pas connaître?) la mouvance. Je ne suis plus intéressée par les mouvements politiques, écolos compris. Je cherche qui pourrait représenter ma posture et celle de tant d'internautes, si j'en juge par les retours d'info - sous forme de boutade je cherche l'inverse de Mémé Barreau, condensé de jérémiades, de fake news, de postures punitives pour ne citer que 3 défauts.

On ne sera pas sauvés par la mouvance écolo antiproductiviste. . J'ai même rencontré des antiproductivistes vaguement anarchistes (ma famille de coeur) qui tombent dans les pièges de la propagande pour péquenot (lire mon courriel à trois d'entre eux dans Imposture de la croissance verte: soupe écologique & quels relais médiatiques? ). A qui faire confiance?

Je me suis arrêtée à Vandana Shiva comme figure d'autorité d'un mouvement écolo qui n'est pas endoctriné CO2. Je retiens aussi Paul Ariès ("la fable du développement durable"), apôtre de la décroissance non punitive, attentif aux démunis.

Je n'ai pas encore assez investigué (et plus envie, à dire la vérité) ce que peut apporter le travail d'un Gunther Pauli, qui travaille dans une posture verte et positive.

Je ne vois personne d'autre qui pourrait tenir cette posture d'écolo authentique et giecosceptique, mais - je me répète- je vis désormais dans une grotte et je passe mes journées à filer, à tisser et à teindre.

Je suis amateur de mouvances à la Vandana Shiva, mais en français, pour les relayer sur ce blog. Merci de vos suggestions.

Résumé des concepts soulevés dans le documentaire

  • La dystopie climatique qui se profile à l'horizon se fonde sur l'urgence: on apprendra ici qu'il n'y a pas d'urgence climatique.
  • Elle postule qu'il nous faut décarboner; or 1/ le CO2 n'impacte pas le réchauffement (c'est l'inverse qui se produit, historiquement) et 2/ il y a plutôt pénurie de CO2 qu'excès.
  • Selon le récit catastrophiste, l'homme est responsable du climat. Or, les changements climatiques actuels sont plus dus à l'activité solaire qu'à l'homme, ce qui est démontrable et démontré.
  • Selon le même récit, les catastrophes naturelles sont en augmentation. Les chercheurs démontrent cette affirmation comme fausse.
  • Les militants martèlent qu'il y a un consensus scientifique sur l'anthropocène. Cela n'est le cas qu'en raison de l'ostracisme et des pertes de sponsors que vivent ceux qui osent contrer le récit climatique. Or, qui ne publit pas, périt.
  • Le GIEC (organisation politique faut-il le rappeler) se base sur des modélisations mathématiques, qui s'avère quasi toujours fausses quelques années après.

 


31.3 Commentaire de Bernard Bel

J'ai visionné ce film avec beaucoup (trop ?) d'intérêt car la facture en est remarquable. Prudemment, je l'ai téléchargé… Par contre, j'ai détesté les premières minutes qui invitent à une lecture "complotiste" pilotée par les émotions. Je n'ai pas non plus aimé les derniers chapitres, pour les mêmes raisons que @Rid Tens et que Taty dans son commentaire détaillé. De nombreux climato-sceptiques américains (autres que scientifiques) affichent un agenda de défense du modèle productiviste et une opposition caricaturale au militantisme écologiste. De même que les Européens défendent l'énergie nucléaire en opposition aux "renouvelables", alors même que la prise de conscience des causes majoritairement naturelles du changement climatique annihile le bénéfice de ce choix d'énergie sans rien changer à ses risques.

Le milieu du film est nettement plus intéressant. Bravo pour le sous-titrage multilingue ! C'est agréable d'y revoir la plupart des personnalités scientifiques (anglophones) qui se sont exprimées publiquement sur ce sujet.

Malheureusement beaucoup trop simplifié, et il donne le bâton pour se faire battre… Par exemple, on n'y voit pas que les statistiques en temps réel des tornades aux USA (https://leti.lt/z325) affichent un nombre croissant, et que c'est seulement en tenant compte de leur intensité qu'on montre que cette croissance est une fiction (Koonin SE, 2021 https://leti.lt/jr03 p. 124). Exemple typique d'un argument que des climato-alarmistes (en partie avertis) soulèveront pour accuser le film d'être construit sur des données falsifiées ! En raison de ces simplifications (trop nombreuses), un tel film ne peut convaincre que des convaincus, voire des gens qui ne connaissent pas le sujet et sont faciles à convaincre. Donc je recommande une lecture (moins excitante) du dossier avant toute discussion sérieuse ! (NdT: Bernard cite ici son dossier, que je relaye dans deux paragraphes).

Dommage, enfin, que Steven Koonin y soit présenté comme un personnage-clé de l'enquête, alors qu'il ne conteste pas l'effet de serre. Il est aux antipodes de John Clauser dans son engagement, car il ne se prononce pas sur les causes du changement climatique. Prudence : sa carrière n'est pas terminée, alors que le nobélisé Clauser "n'a plus peur de rien ni de personne" ! La deuxième partie du bouquin "Unsettled?" de Koonin est construite sur l'affirmation que la "neutralité carbone" est irréalisable, mais que le climat se réchauffe. Steven Koonin y affirme qu'il faut donc développer les technologies de production d’énergie "décarbonée", les petites centrales nucléaires, la fusion… ainsi que lutter directement contre le réchauffement par des techniques de géo-ingénierie. Explication de cet agenda : Koonin a travaillé pour British Petroleum, où sa mission était d’étudier les options des énergies renouvelables permettant à la compagnie d’aller "au delà du pétrole".

Pour moi, aujouurd'hui, le dossier le plus complet sur "le climat" est le bouquin (libre en PDF) “The Rational Climate e-Book: Cooler is Riskier” de Patrice Poyet (https://leti.lt/ky5g). Complet mais très technique, c'est pourquoi il m'a fallu quelques semaines pour le décrypter !

Pour les francophones, rien de mieux que le récent ouvrage de Jacques-Marie Moranne : “Climat et CO2 : décryptage d’une manipulation” (https://leti.lt/a71r) qui aborde ce sujet avec beaucoup de pédagogie et sans dramatisation… (La version Kindle est très bien.)

 

31.3 Je ne suis pas éco-anxieuse, je suis éco-furieuse!

Le GIEC ou Histoire d'une bévue (je suis dans un bon jour) ou encore le jeu des 7 erreurs: lire le long dossier technique, argumenté, documenté qu'a élaboré Bernard Bel sur le sujet : "Discours sur le climat"

A l'aide de références pointues et dans un langage très technique, il y expose les mensonges du GIEC. Oups, pardon, il fallait que ça sorte. Je suis restée élégante pendant deux phrases seulement 😉

Bernard et moi suivons les mêmes sujets, mais dans des contextes différents: lui tient un blog de veille scientifique et fait un travail de documentation rigoureux, mis à jour régulièrement, là où je produits des billets d'humeur que n'aurait pas renié Christiane Collange dans Cosmopolitan (si jamais elle y écrivait).

Bernard expose son processus de recherche, de pensée et ses références, là où je ne donne en général que ma conclusion, en termes fleuris et profanes.

Prévoyez une heure de lecture (au minimum), et surtout le crayon en main! Car cet excellent dossier s'adresse à des habitués de stats et de sciences dures. Il complètera (ou précédera) le film que j'ai relayé hier: "Climat: le film (la vérité à froid)".

L'image est extraite du billet susmentionné, source: Patrice Poyet. Commentaire de BB, pour rechercher l'image plus vite dans le dossier: "La "méthode scientifique" est schématisée à gauche et devrait prévaloir sur tout consensus, et à droite se trouve la "méthode de la science du climat" telle qu'elle est imposée par les instances politiques et les intérêts du complexe industriel et de recherche sur le climat."



Conclusion: soyons pragmatiques

Dans ces billets, je ne m'adresse pas aux climatoréalistes, mais bien aux écolos de mon acabit qui trouvent qu'on leur a volé l'écologie, qu'on la déviée de ses intentions premières.

Dans des sujets si complexes, si clivants depuis que la pensée s'est binarisée chez beaucoup, je ne réponds pas aux commentaires sauf s'il apparaît que l'internaute a lu tout le dossier de Bernard avec attention ( https://lebonheurestpossible.org/discours-sur-le-climat/ ) ou lu mon propre dossier, plus profane, d'une écolo trahie: "Le Green New Deal/Pacte vert européen à l'horizon de la crise covid" - environ 25 billets depuis avril 2020.

Sinon, on continue le dialogue de sourds. Vanitas vanitatum.

Au-delà des points critiques du film que je soulève en compagnie de Bernard, on a peut-être trouvé un remède pour protéger nos bambins de cette propagande terrifiante, qui commence dès l'école primaire. Pauvres pitchous! N'écoutez pas les sorcières noires et les prêtres de malheurs, venez apprendre à penser avec la sorcière blanche. Faites visionner ce film par vos ados, commentez-le en famille. Ils auront peut-être envie ensuite de lire le long dossier fouillé de Bernard.

 

Ajout 31.3.24 . J'apprends chez Ivor Cummins qu'un documentaire précédent de Durkin, sur le même sujet, était passé en 2007 sur Channel 4 (britannique): The Great Global Warming Swindle (l'escroquerie du réchauffement global). Oh, les beaux jours! Quand une chaine grand public osait publier des avis divergents. Nostalgie! A voir ici: https://www.youtube.com/watch?v=oYhCQv5tNsQ