13/8/2023 Naïveté/crédulité ou carrément refus de certains internautes d'entendre ce que sous-tend mon dossier actuel "Leave the kids alone" (protection des enfants face au guide Evras dans les écoles, à la promotion de la transitude): réactions compréhensibles.
Naïveté/crédulité ou carrément refus de certains internautes d'entendre ce que sous-tend mon dossier actuel "Leave the kids alone" (protection des enfants face au guide Evras dans les écoles, à la promotion de la transitude): réactions compréhensibles.
Ouvrir l'oeil signifierait reconnaître le contexte d'un néolibéralisme fou, dans lequel nous acceptons de vivre. Parfois, sommeiller réconforte. Personne n'a demandé à venir être chatouillé dans sa somnolence, ce que je fais avec Leave the kids alone.
On a vu en temps covid que les enfants sont une variable d'ajustement.
On sait que le business model des labos rayon vaccin (leur principale source de profits depuis qu'on ne trouve plus de nouvelle molécule) compte plus que la santé des petits.
Le ventre des femmes est à vendre, et interchangeable (GPA etc). On le sait depuis des années. Les nourrissons s'achètent, aussi, en fermant les yeux sur les conditions de (re)production.
Moins connu mais véridique: aux States, les enfants sont traités comme de banales marchandises. On organise des défilés d'enfants à adopter. Les acheteurs pourront rendre l'enfant si celui-ci ne leur plait finalement pas. Un enfant adopté sur quatre est ainsi "rendu". Concept de garantie marchandise poussé à l'extrême du néolibéral cynique. Des sites internet proposent les "rendus" à la ré-adoption.
"Satisfaits ou remboursés : des enfants "ré-adoptables"" reportage -> https://www.youtube.com/watch?v=nB4NO_NpAIc
Entendu dans une entrevue: en idéologie transgenre les enfants et ados deviennent les consommateurs d'eux-mêmes. Cela m'a titillée.
Tinder était un pas en avant dans l'aliénation hyperconsommatrice: chacun devenait le vendeur de soi-même.
La transidentification: l'ado devient son propre objet de consommation.
"Nouvel Iphone: je le veux! je baque l'ancien."
Sur le même thème: "je veux être une fille, non finalement un garçon, tiens pourquoi pas un chat?" C'est drôle tant qu'on n'arrive pas aux mutilations.
Je travaille au chapitre "qui est derrière ce mouvement", mais on ne peut nier une poussée générale naturelle, que ces activistes sont venus exacerber. La transidentification serait le symptôme d'une société malade de ses excès, malade de considérer le vivant comme une "ressource".
Quiconque choisit de ne pas voir le cynisme profond du néolibéralisme et notre vassalité au système américain ne voudra évidemment pas voir ce que nous piétinons comme valeurs et ce que nous importons comme concepts ... Je n'envisage même pas de leur faire lire mes billets. Peine perdue.