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Rentrée 2023 et nouvelle "éducation au plaisir sexuel" dès le premier âge

8.7.2023 J'en fais trop en m'opposant ouvertement au prosélytisme transgenre? J'ai mes raisons... Exemple par le guide Evras, d'éducation sexuelle et affective des tout petits, nouveau dans nos écoles: quasi un guide pour groomer les petits à accepter la prédation sexuelle! L'origine de ce guide est très floue. Parents, renseignez-vous...

Répertoire "non-food" de ce site. Je mets ma casquette de Jiminy Cricket et je nourris un dossier critique face à l'accueil d'une mouvance à surveiller come le lait sur le feu: le transgenrisme, répandu aux States, qui commence chez nous. Ceci est un sous-chapitre de "Ce que les GAFAM font à l'homme". Titre temporaire: "Leave the kids alone" (ou Ce que le transgenrisme fait à nos sociétés)


Je partage ma réponse par mail à un copain qui trouve que j'en fais trop en m'opposant au mouvement transgenre, si prosélyte.

 

Le mail:

Les enfants m'importent plus que tout: "leave the kids alone!". Or, je sens une attaque sournoise sur leur intégrité dans les conseils actuels. J'attaque à la source, figure-toi, car ce sont de toute évidence des trans-imbibés qui ont guidé les nouvelles recommandations dans les écoles. Soit de vrais transgenres, soit des petits bourgeois qui croient très "in" de valider cette folie sémantique et théorique, qui part d'un bon sentiment mais qui finit en intolérance crasse.

Leave the kids alone!

Le guide Evras (Guide pour une éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle) est destiné aux éducateurs et enseignants en Belgique. Il se base entre autres, apparemment, sur les recommandations 2010 de l'OMS sur le sujet.
Je fais simple, là où les tribunes de pédagogues et de psychiatres sont plus délicats: à lire leurs consignes, on pourrait presque dire qu'il s'agit d'accoutumer nos enfants à la pédophilie, sous couvert de tolérance. Cela s'appelle "du grooming" en termes précis: préparer le gamin à tout accepter.

Si l'on voulait protéger les petits des prédateurs, ce n'est pas en leur enseignant des techniques de masturbation et de fellation qu'on y arriverait. C'est en leur apprenant à

1/ savoir dire non

2/ ne pas se laisser impressionner par l'autorité (les prédateurs en usent tous)

3/ ne pas se laisser punir sans raison (les menaces des prédateurs sont toujours basées sur ce biais)

4/ savoir ce qui est bon pour eux

Je reprends là les 4 critères que m'a suggéré mon cousin pédopsychiatre, expert de l'enfance en difficulté, lorsque pendant la crise "Dutroux" en Belgique, parents, nous nous interrogions sur la meilleure façon d'apprendre à nos gamins à résister.

Je t'invite à lire cet article, où des spécialistes décortiquent le guide OMS de 2010

 

 

Je n'ai pas besoin d'expert pour repérer qu'il y a un loup quand on se mêle de "la sexualité de l'enfant", texto! Un enfant a des émotions, des sensations, pas de sexualité, voyons. Si j'ai connu mes premiers émois à 8 ans dans mon petit lit, toute seule, cela n'était qu'un accident biologique, ce n'était pas la porte ouverte à la sexualité. On confond tout.

Il est clair que le guide est biaisé, mais par qui? Extrait de l'article: "L’examen des deux associations mentionnées comme « renommées » pour aider à la rédaction de ce chapitre sur le développement psychosexuel de l’enfant permet de prendre conscience de l’absence totale de légitimité scientifique de ce texte. En effet, il apparaît que SENSOA en Belgique est une association militante pour les « droits sexuels », et que le Rutgers Nisso Group est le planning familial national des Pays Bas. Donc l’OMS cite le planning comme source scientifique. Les associations nommées ci-dessus n’ont évidemment rien de scientifique et n’ont aucune légitimité à parler du « développement psychosexuel de l’enfant ». Nous parlons bien de psychologie de l’enfant ? On est là devant un procédé classique des lobbies militants idéologiques : s’autovalider avec des références pseudo-scientifiques, en misant sur l’absence de curiosité du lecteur concernant l’origine des sources citées. "

Pour discerner, c'est assez facile: quand dans une directive ou un article tu lis "discrimination de genre" (et pas "de sexe") , tu sais que tu es dans la propagande transgenre. Et pas dans l'information.
Il n'y a pas de fondement scientifique aux prétentions transgenres, la théorie dite du genre (Judith Butler) est bâtie sur du sable. Il y a certes de rares cas de vraie dysphorie de genre, que j'ai illustrée avec le cas de Buck Angel récemment.


Au Bengladesh, en Iran, etc, certains pouvaient parader en femme alors qu'ils étaient des hommes biologiques tentés par l'homosexualité. Cela n'a rien à voir avec la "théorie" transgenre, c'était une façon de ne pas se faire caillasser par une société hypermacho qui n'aurait jamais accepté même l'idée d'homosexualité. Je me suis toujours identifiée au masculin plus qu'au féminin, mais ce n'était pas douloureux au point de vouloir me balader en costar. Il y a tant de nuances de gris dans les identités.

Ceci n'est pas une thèse, mais une piste de réflexion pour les parents qui, à ce que je découvre, ne savent pas ce qui sera enseigné à leurs petits dès cette rentrée.

Je te donne des pistes pour découvrir ce que des spécialistes peuvent penser de cette folie:

  • dans Lalibre.be, fin 2022: Le nouveau Guide pour une éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle ne répond pas aux enjeux que rencontrent nos enfants. J’ai eu la curiosité de lire les 299 pages du Guide pour une éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle, et mon sentiment dominant est la consternation.
  • aussi dans Lalibre.be, fin 2022: Non à l’hypersexualisation de nos enfants. Protégeons nos enfants qui, dès 5 ans, se verront bientôt “éduqués” dans les balises du nouveau guide Evras.
  • Un article récent, pour la France: «On est venu expliquer aux enfants ce qu’était la sodomie ou la fellation»: les Mamans Louves dénoncent l’éducation à la sexualité dans les écoles

Ou pour lire toi-même les 299 pages du Guide Evras.

Si tu veux écouter plutôt que lire: Dr Berger, pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant à l’Université Lyon 2 - Les dangers de l'éducation à la sexualité pour les enfants et les adolescents:

 

 

 

C'est une alerte datant de 2017, concernant les plans gouvernementaux français sur "l'éducation à la sexualité", prenant source dans des textes internationaux portés par l'OMS, le planning familial et l'ONU, en cours d'application dès la maternelle en France. Ces plans sont devenus réalité.

Mon pitch: il faut s'attaquer à la racine du délire, la racine étant le mouvement transgenre et le wokisme. Ces tendances ne sont pas tombées du ciel, elles sont des outils utilisés par les agences de relations publiques, elles-mêmes financées par des philanthropocapitalistes comme Soros, dont le but avoué est de détruire le ciment de nos sociétés pour en reconstruire une nouvelle, en mieux. Tu parles! Les media ne sont plus libres, ils relayent les infos de ces agences. On ne plus se baser sur les media, il convient donc que les parents se mobilisent.

La cible de ce dossier: je tâcherai de démêler l'écheveau à partir de sources existantes et de sérier qui, entre les associations de bon ton protégeant la pédophilie que l'on connaît et les lobbies transgenristes/wokistes, qui donc est à la manoeuvre pour pousser de telles aberrations?

On ne peut non plus se fier aux enseignants ni aux directions d'école, globalement. Quand on a vu qu'à part de rares exceptions, ils pouvaient masquer les enfants sans raison, pendant la crise, qu'ils pouvaient les torturer avec d'inutiles tests PCR, on sait qu'ils n'ont pas le bien-être des gamins à l'esprit. Pardon à eux mais en obéissant ainsi à des consignes arbitraires et indignes, ils ont été mégalâches. Je ne compte pas sur le corps enseignant pour comprendre le délire wokiste, encore moins pour freiner cette idéologie d'hypersexualisation chez nos petits.

 

 

NB. Pour repérer les articles sur ce thème-ci dans le sommaire, le terme "sexuel" est toujours dans le titre, une petite recherche sur ce terme vous pointera les billets. Parallèment, le mot "trans" est dans le titre ou le résumé de chaque billet ad hoc. Ce sont les deux bras du dossier "Leave the kids alone".


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