17.7.2023 Les transidentitaires sont marqués par trois facteurs: narcicissisme exacerbé, victimisation et non-pensée. Parlons de la valorisation du statut de victime, qu'ils partagent avec les néoféministes
Les transidentitaires sont marqués par trois facteurs: narcicissisme exacerbé, victimisation et non-pensée. Parlons de la valorisation du statut de victime, qu'ils partagent avec les néoféministes, mes soeurs qui font honte à la vieille génération de féministes des années '70.
Cherchez à rencontrer des transgenres, en direct ou sur le net. Aux States ou ici, un dénominateur commun: leur ton plaintif permanent. Ils sont des victimes et point barre.
Ces jérémiades sont le coeur du succès de ce mouvement ainsi que celui des néoféministes (qui y ajoutent le ressentiment), qu'aucun bobo de bon ton ne voudrait contredire (toujours la même peur de paraître ringard). Geignements qui, en outre, sont de bon augure dans une société qui vénère la victimisation. C'en est presque le symptôme.
Hélas! à nourrir l'effet victime, les pleurs, les récriminations, ces passions tristes, on oublie l'action, la création, le travail sur soi, le désir tout simmplement.
Konstantin Kisin raconte une expérience édifiante. Je reprends la version YT pour que vous puissiez brancher les sous-titres FR: https://www.youtube.com/watch?v=PJV_U2cUvs0
Dans une autre vidéo, Konstantin Kisin trouve un slogan de génie: "“Victimhood is now currency.”
Se poser en victime ouvre toutes les portes, c'est devenu un thème bateau quand je parle avec les plus jeunes. Moi: "Kwwwaaaa? Il faut la croire, elle, parce qu'elle est victime?". La plupart du temps, la réponse du jeune est "oui".Je n'ai pas été investie de la mission de les éduquer entre deux portes. J'abandonne donc la partie dans ces cas.
Ecouter Kisin chez @ PBDsPodcast (sur ma chaine rumble)
La folie transgenre & woke dans les medias n'a pas encore percolé dans la société, à part chez quelques bobos. Mais le féminisme de ressentiment, androphobe, se répand comme une traînée de poudre chez les jeunes, ternissant les relations homme/femme. Or, ce mouvement intersectionnel utilise les mêmes ressorts tristes: se poser en victime des " cis blancs hétéros", qui sont tous toxiques, ou des méchants mâles, alias "le patriarcat" ou, concept bien flou qu'une féministe hard core de longue date n'utilise jamais (à la rigueur, j'accepterais "dominance masculine dans les cercles de pouvoir").
Comprendre les ficelles de ces mouvements qui, inconsciemment, reformulent le réel, permet de ne pas être soi-même victime des réseaux sociaux. Décoder les aspérités nous permettrait de recadrer nos gamins, de les aider à penser ces slogans qu'ils répètent sans vraiment les interroger.
En tant que cible d'ostracisation depuis toujours, je sais que pointer mes forces et mes atouts sera toujours plus payant que me la jouer OuinOuin. Tel est mon refrain face aux jeunes victimophiles.
Je moque les transgenrifiés, mais on devrait les plaindre : ils sont victimes d'un endoctrinement qui n'est pas né dans les choux et qui profite de leur faiblesse. La sauce concoctée par des agences de relations publiques a pris chez ces jeunes, car leur désespoir était cosmique.
Pathétique ou tragique? que ces jeunes tentés par le joueur de flute transgenre: dans cette vidéo, les "alliés cis" devraient bosser et nourrir les trans qui souffrent tant. Tombera-t-on plus bas?
Ce toxique mouvement transgenre est d'ailleurs saboté de l'intérieur et va imploser. Autre exemple avec une femme transitée "homme non binaire" qui s'identifie à une lesbienne (cas récent aux States). Ben non chérie, tu fais de la soupe là...
Ouf! Les homos et les transsexuels sont sauvés, ils vont devoir un peu ramer pour récupérer la réputation entachée, mais on y arrivera. Implosion en vue.