27.8.2023 Nos ados ne sont-ils pas happés par cette idéologie wokiste sans fondement, sans logique, qui est quasi une religion: par manque de culture, manque de réflexion, manque de recherche individuelle?
Pardon à ceux que ceci choquerait. Vous direz que je suis une vieille réac' et voilà.
Les ados sont piégés par la contagion sociale, certes (voir "La contagion sociale transidentitaire" ). Mais ils sont hélas aussi happés par cette idéologie wokiste sans fondement, sans logique, qui est quasi une religion: par manque de culture, manque de réflexion, manque de recherche individuelle.
Les réseaux les ont abêtis (c'est le coeur de mon dossier " ce que les gafam font à l'homme"), ils ont rendu la pensée creuse.
Mais aussi l'école est devenue la fabrique du crétin, selon la formule de Jean Paul Brighelli dans "La Fabrique du Crétin : La mort programmée de l'école"
(livre dont je ne relaye pas le pitch - pour avoir écouté Brighelli, j'en conclus qu'il établit un constat juste mais raisonne en simple "c'était mieux avant", vision que je ne valide pas).
Plus modéré: l'école est devenue le toboggan vers le travail utile, en entreprise. D'où le libellé de Haupt en image: "usine à calculette".
Les ados n'y sont pour rien, les parents à peine. Mais la sauce n'aurait pas si bien pris si les ados avaient un peu d'esprit critique, de libre pensée, de vision large sur la société et ses enjeux.
Le même phénomène explique leur écoanxiété généralisée, due à leur crédulité face à la comm' des climatocatastrophistes (nourrie par l'école, en outre, les pauvres! voir leur cours de SVT, qui reprennent mot pour mot la propagande climat).
Où sont les jeunes Gieco-sceptiques? qui seraient un peu critiques de la glose de Jancovichy? Je n'en ai pas encore rencontré en direct ou sur le net. Ils répètent des mantras, comme ils le font en transgenrisme.
Si j'avais un enfant d'âge adolescent aujourdh'ui, je travaillerais à combler ce manque de culture historique, politique, critique , puisque l'école ne fait plus ce travail et se limite à former des futurs start-upeurs.